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Professorat des écoles : l'ESPÉ de Lorraine ouvre un cours en ligne de remise à niveau en mathématiques

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visuel SPOC maths

Besoin de soutien en maths pour le Professorat des Écoles?

L'ESPÉ de Lorraine ouvre un cours en ligne de remise à niveau en mathématiques pour les étudiants se destinant au professorat des écoles.
Ce cours se déroulera sur 5 semaines du 29 mai au 30 juin 2017. L'objectif du cours est de permettre aux étudiants de réétudier certaines notions fondamentales des mathématiques indispensables à tout futur professeur des écoles.Il est destiné en priorité aux étudiants de L3 de toute discipline de l'Université de Lorraine voulant continuer en master MEEF à la rentrée 2017.Ce cours est également ouvert à tout autre public, en particulier les étudiants de L2.Le cours s'appelle : SPOCMATHESPE Plus d'info sur http://arche.univ-lorraine.fr/course/view.php?id=18540


1ère Journée Référence RH organisée par l'ISAM-IAE Nancy sur le campus ARTEM

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Sous l’impulsion de l’Association Humanum de l'ISAM-IAE Nancy et plus particulièrement de son groupe « Référence RH », les écoles labélisées du même nom de la région Grand Est se sont retrouvées à Nancy, sur le campus ARTEM, ce vendredi 19 mai 2017.

C’est ainsi que l'ISAM-IAE Nancy, l’ESM-IAE de Metz et l’EM de Strasbourg ont pu lors de cette journée se rencontrer, échanger et ainsi créer des liens, un atout pour le parcours professionnel de tout acteur de la sphère RH.

Dès 9 heures, les étudiants ont partagé un petit-déjeuner ; s’en est suivi la présentation de chaque « maison » et le visionnage du documentaire réalisé par Mme MERCIER, « La fonction RH à l’ère du numérique ».

L’après-midi et la soirée furent quant à elles plus informelles ; petits jeux, concours de la photo la plus originale et moment de détente autour d’un verre de l’amitié ont été de bons moyens pour rapprocher les étudiants.

DUT Gestion Logistique et Transport

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Une équipe soudée pour un podium mérité !

Quatre étudiants de l'IUT de Moselle Est, département Gestion Logistique et Transport à Sarreguemines, ont prouvé leurs compétences lors de la finale du jeu Exploit'temps.

Le 19 mai dernier s'est tenue à Montluçon (département de l'Allier), la première compétition nationale des départements Gestion Logistique et Transport réunissant les équipes de 9 villes.

Durant cette journée, les étudiants ont été mis en situation professionnelle. Plus précisément, ils ont assuré la gestion d'une exploitation de transports de marchandises. Le défi était de gérer les opérations de transport longue distance, en optimisant les moyens humaines et les ressources matérielles. Il fallait gérer 5 chauffeurs et 4 poids lours sur une durée de 15 jours.

La compétition a duré 6 heures et les 10 équipes ont donné le meilleur d'elles mêmes. Une belle opportunité pour les jeunes de tester leur capacité à s'adapter au monde du travail : appliquer leurs connaissances, gérer le travail d'équipe, résister aux tensions, prendre les décisions.

Audrey, Eric, Nathan et Pauline, étudiants à l'IUT Moselle Est, ont fièrement représenté la ville de Sarreguemines. L'équipe a terminé en 3ème position face à des adversaires d'autres IUT de très haut niveau et à une équipe composée de professionnels. Les sarregueminois remportent les félicitations du jury ainsi qu'une récompense bien méritée et font la fierté du département Gestion Logistique et Transport !

Ce fut également un grand moment de rencontre et de partage lors des deux soirées organisées par les étudiants de l'IUT de Montluçon et bien au-delà de la soirée de clôture : "on s'est retrouvé avec toutes les équipes le soir même dans un cadre convivial pour relâcher la pression" -Eric.

Cette manifestation s'inscrit parfaitement dans le projet pédagogique des IUT d'assurer une formation adaptée aux besoins des entreprises.

Une belle expérience à renouveler l'année prochaine !

Ecole thématique « Eco-Matériaux, Energie et Construction Durable » IUT de Longwy, 27-28 avril 2017

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L’UniGr met à profit la thématique « Énergie et Ville du Futur » à travers une école thématique organisée les 27 et 28 avril 2017 par l’antenne du Laboratoire d’étude et de recherche sur le matériau bois (LERMAB) située à l’IUT Henri Poincaré.

L’Unigr a profité de la présence d’experts internationaux réunis autour du thème Énergie et Ville du Futur pour organiser une école thématique destinée aux doctorants de la Grande Région. Lors de la journée du 27, le colloque EVF a été ouvert aux doctorants pour leur permettre de bénéficier des conférences plénières généralistes telle que « Terres d’avenir » présentée par Yannick Monget, prospectiviste-auteur, ou encore « Santé numérique du futur » animée par François Tournay, docteur en pharmacie et d’autres présentations sur le contexte énergétique de la Grande Région (gazéification, méthanisation, cogénération) présentées par des universitaires franco-allemands.

Lors de la journée du 28, une session spécifique à l’école thématique s’est tenue à l’IUT Henri Poincaré de Longwy pour une formation ciblée et approfondie des doctorants. Cette formation a abordé des thèmes assez variés comme « Le chemin vers de doctorat » et de la philosophie de « La recherche multiphysique », le rôle du matériau bois et des ressources forestières dans la protection de l’environnement, l’efficacité exergétique/économique des systèmes énergétique en lien avec les problématiques environnementales, la caractérisation des matériaux de construction hygroscopiques et la commande des systèmes de transmission d’énergie, les convertisseurs d’énergie pour les piles à combustible. La nécessité d’une politique économique commune  pour la transition énergétique et la mutation des collectivités locales face à la raréfaction des ressources a aussi été abordée.

Des espaces d’échanges ont été aménagés pour permettre aux doctorants d’interagir avec les animateurs de la session de la deuxième journée du colloque EVF qui s’est tenue ce jour-là en parallèle.

Etudiant Entrepreneur au PeeL : il crée la première génération de potager éléctroménager

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Donner la possibilité à chaque foyer de posséder son propre potager, c’est l’objectif que s’est fixé Antony Thirion, étudiant en 5ème année de pharmacie filière Industrie (DFA-SP2). Pour réaliser son projet, il lance la création en novembre 2016 de la Start-up "Pousse-légume" et choisit le Statut Etudiant-Entrepreneur qui lui permet d’avoir un accompagnement du Pôle entrepreneuriat étudiant de Lorraine (PeeL). « Le PeeL m’offre un réseau exceptionnel de partenaires, créateurs d’entreprises ou organismes d’accompagnement. Je profite également de nombreux contacts au niveau de l’Université de Lorraine pour ma recherche de compétences ».

Amoureux de jardinage, Antony est frustré de ne pas s’adonner à son hobby coincé dans sa chambre d’étudiant. Il imagine alors de faire venir le potager à l’intérieur. Son « Pousse-Légume » est une mini-serre potagère modulable, éco-responsable, hydroponique, biocontrôlée via un logiciel et connectée via une application mobile. Elle devrait permettre à tous en plaçant une simple pastille contenant des graines dans le dispositif, de récolter à domicile petits légumes, fruits, bulbes, plantes aromatiques ou fleurs. « A l’heure où les consommateurs sont de plus en plus exigeants sur la provenance des produits, j’ai compris que mon projet répondait à de nombreuses problématiques aussi bien sociétales qu’environnementales » analyse l’étudiant.

En très peu de temps, Antony a réussi à fédérer autour de lui une petite équipe de 4 personnes constituée d’étudiants et de jeunes diplômés. Il assure dans la structure, les recherches sur les solutions nutritives des plantes, tandis qu’un manager de projet et 2 ingénieurs industriels développent les autres aspects du projet. L’équipe travaille dans l’espace de co-working d’ARTEM , ainsi qu’au PeeLaB, un environnement qui permet à Pousse-légume de travailler avec d'autres start-up sur l’élaboration du produit. « La mise en place du pousse-légume nécessite le développement de logiciels et de 4 à 9 mois de test en laboratoire sur nos solutions nutritives. SOS futur et la plateforme Vegelab vont nous épauler sur ces problématiques. Nous recherchons activement des partenaires pour industrialiser nos serres… ».

Mais avant les phases de test, Antony doit lancer sa première campagne de crowdfunding qui financera une dizaine de prototype. Il espère d'ici 2018 produire une vingtaine de modèles qui seront mis à disposition des écoles, restaurants et maisons de retraite...

Pour plus de renseignements sur Pousse-légume :

Séminaire de l’UniGR – « La gestion du savoir dans des contextes plurilingues »

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L’édition 2017 de ce séminaire transfrontalier organisé par un consortium de 3 universités, l’Université de la Sarre, du Luxembourg et de Lorraine, a eu lieu le 30 mai au Campus du Saulcy à Metz et a rassemblé 15 étudiants de la Sarre, accompagnés par les professeurs Claudia Polzin-Haumann et Christina Reissner de l’Université de la Sarre et Grégory Hamez de l’Université de Lorraine.

Après avoir assisté le 18 mai dernier à la première partie du séminaire qui s’est déroulé à la maison de la Grande Région à Esch-sur-Alzette, les étudiants sarrois ont pu cette fois participer à la session organisée à Metz.  

Le programme de la journée comprenait une présentation par Grégory Hamez, maître de conférences en géographie à l’UFR SHS de Metz, qui abordait la thématique des frontières et de leur signification dans notre monde actuel. Les sujets abordés étaient vastes, comme par exemple une étude sur les mariages transfrontaliers, mais un des points essentiels restait la participation aux débats des étudiants sarrois, aussi bien en français qu’en allemand.

Le reste de l’après-midi a été consacré à dresser les principaux enseignements sur les échanges culturels et linguistiques franco-allemands, et à définir quelles étaient les perspectives concernant les frontières. Puis, une activité en extérieur a permis aux étudiants de découvrir le centre-ville de Metz grâce à des jeux de piste, au cours desquels les étudiants partaient en quête des indices linguistiques français et allemands qui jalonnent le bâti, la voirie et le mobilier urbain.

La dernière session de ce séminaire aura lieu à Sarrebruck le 19 juin prochain.

La Validation des Acquis de l’Expérience en 10 questions

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Qui peut prétendre à la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) ?

Toute personne ayant acquis une expérience salariée, non salariée ou bénévole (en relation avec le diplôme visé), d’un an minimum et qui souhaite la transformer en certification, sans condition d’âge, de nationalité, de statut ni de diplôme.

A quel moment démarrer une VAE ?

Une VAE peut être envisagée à partir du moment où l’on souhaite faire reconnaître ses compétences par l’obtention d’un diplôme pour évoluer professionnellement.

Avant de se lancer dans cette démarche, il est nécessaire de faire le point sur son projet professionnel, ses réelles motivations et ses aptitudes actuelles, notamment en effectuant cette analyse à l’aide d’un bilan de compétences.

À l'Université de Lorraine, la démarche peut commencer à tout moment de l'année.

Quels niveaux de diplômes peut-on valider ?

L’Université de Lorraine propose des diplômes du DUT au Doctorat dans tous les domaines (Sciences, Sciences de l'Ingénieur, Technologies, Santé, Sciences Humaines et Sociales, Droit, Economie et Gestion).

A l’Université de Lorraine, les diplômes les plus demandés sont les Licences professionnelles puis les Masters en seconde position (voir enquête : « la »validation des acquis à l’Université de Lorraine).

Comment le diplôme obtenu par la VAE est-il considéré par l’entreprise ?

Qu’il soit obtenu par la voie de la formation initiale ou par la VAE, l’entreprise ne fait aucune distinction de cas. Le diplôme délivre une certification et valide les compétences et responsabilités professionnelles du candidat.

Quelles sont les différentes étapes nécessaires à l’élaboration du dossier ?

La VAE débute par l’identification du diplôme souhaité. Le candidat à la VAE peut être accompagné gratuitement par un conseiller du Point Relais Conseil VAE de sa ville qui va alors rechercher le titre du diplôme inscrit au répertoire RNCP (Répertoire Natioanal des Certifications Professionnelles) et le référentiel de compétences approprié.

Pour officialiser sa demande, le candidat devra ensuite compléter un dossier appelé livret 1 relatant son expérience professionnelle et y apporter les pièces justificatives nécessaires.

Le livret 1 sera présenté à l’organisme certificateur (organisme susceptible de délivrer le diplôme) qui validera ou non la candidature.

Si le certificateur considère l’expérience professionnelle adéquate au diplôme visé, il délivrera la recevabilité qui sera le point de départ de la demande de prise en charge.

Une fois le financement trouvé, le candidat devra rédiger le livret 2 et le présenter devant un jury. Une soutenance d’une vingtaine de minutes devant ce même jury clôturera le processus.

Le jury peut :

  • refuser de valider le diplôme,
  • valider partiellement le diplôme : il considère qu’il manque quelques compétences pour valider le diplôme en totalité,
  • valider le diplôme : l’expérience est en parfaite cohérence avec la certification.

En cas de validation partielle, les modules nécessitant une formation complémentaire sont communiqués au candidat. Il devra alors fournir un travail supplémentaire (fiche de lecture, travail de recherche, suivi d’une UE…) et repasser devant un jury.

En 2016, le nombre de validation totale des diplômes a augmenté à l’Université de Lorraine.

Comment bien préparer sa VAE ?

Pour mettre toutes ses chances de son côté, le candidat doit :

  • avoir murement réfléchi à son projet professionnel, être certain de souhaiter une reconnaissance de son expérience professionnelle (VAE) et non pas l’acquisition de nouvelles compétences professionnelles (formation),
  • s’assurer de pouvoir y consacrer le temps nécessaire (une VAE représente 5h à 10h de travail hebdomadaire sur 6 à 9 mois),
  • demander un accompagnement si nécessaire,
  • avoir étudié la question du financement au préalable,
  • prendre du recul sur ses propres pratiques professionnelles lors de la rédaction du dossier,
  • soigner la qualité de rédaction du dossier qui sera autant jugée que le contenu.

Comment financer la VAE ?

Le tarif forfaitaire de la VAE à l’Université de Lorraine est de 1400€ quel que soit le diplôme, auquel il faut ajouter les frais d’inscription universitaire.



Pour financer la VAE, plusieurs possibilités :

  • le salarié peut utiliser son compte personnel de formation (CPF), ses congés CIF ou VAE,
  • l’employeur peut directement prendre en charge le coût de la formation,
  • le financement public : la Région ou Pôle emploi pour les demandeurs d’emploi,
  • l’autofinancement.

Comment se déroule l’accompagnement ?

A l’Université de Lorraine, le candidat peut être accompagné s’il le souhaite de différentes manières :

  • par un entretien individuel,
  • des ateliers méthodologiques collectifs,
  • un suivi à distance,
  • une aide à la construction du dossier de validation et une préparation au passage devant un jury,
  • un accompagnement allant jusqu’à 24 heures,
  • un accompagnateur référent tout au long de la démarche.

Quels sont les bénéfices apportés par la VAE ?

Le candidat décide d’effectuer une démarche de VAE pour plusieurs raisons : valoriser son expérience professionnelle, ses compétences, être reconnu par ses pairs, évoluer professionnellement ou changer de carrière grâce à l’obtention d’un diplôme.

Lorsque son investissement est récompensé par la validation du diplôme, le candidat tire également de cette expérience une plus grande confiance en soi et en ses capacités.

Qui contacter à l’UL ?

 

Pièce(s) jointe(s): 

Concours d’expression sur le thème de l’Education et l’Action contre le Racisme.

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La Semaine d’Education et d’Actions contre le Racisme et l’Antisémitisme qui est organisée de façon annuelle à l’initiative de la DILCRAH voit chaque année se mettre en place des projets qui prennent différentes formes, telles que des conférences, des projections, des ciné-débat, des colloques et autres représentations théâtrales.Pour cette édition 2017, l’UFR Droit Economie et Administration de l’Ile de Saulcy (site de Metz) à quant à elle pris l’initiative d’organiser un concours d’expression papier sur la thématique de la lutte contre le racisme.

Cette démarche, impulsée par le Doyen de l’UFR DEA Monsieur Florent Roemer et la cellule DADIE (Diversité, Anti-Discrimination, Inclusion et Egalité) a pris la forme d’un concours aux supports divers et libres, qu’il s’agisse de photographie, dessin, peinture, texte… Ainsi, 36 participations ont été enregistrées et 12 finalistes ont été sélectionnés et invités à venir présenter leur œuvre devant un jury composé de Madame Sabrina Lavric, maîtresse de conférences en droit de la Faculté, Madame Corinne Schumpf, déléguée aux relations et conditions de travail de l’Université de Lorraine, Madame Laurence Mancinelli, responsable administrative de la Faculté  de Droit Economie et Administration,Monsieur Mael Zanoune, étudiant à l’Université de Lorraine et gagnant du concours de rap et slam organisé par la faculté sur le thème de la liberté d’expression et enfin Monsieur Pascal Tisserant, maître de conférences en psychologie sociale à l’Université de Lorraine et chargé de mission Egalité-Diversité.

Lors de cette finale, qui s’est tenue le 23 mai au sein de l’UFR DEA, chaque finaliste a présenté sa réalisation devant les membres du jury durant 5 minutes, s’en sont suivi des échanges, quelques questions, puis le jury s’est retiré afin de délibérer avant l’annonce des résultats. Cette remise de prix a permis de nombreux échanges et les jurys y ont entendu de belles tranches de vie.

Suite à cela, le jury a décidé de récompenser les 12 finalistes par un boncadeau Fnac. Nous vous présentons ci-dessous les œuvres qui ont reçu les 1er, 2ème et 3ème prix, attribués à des personnels de l’Université de Lorraine, ainsi que le prix spécial Faculté qui est venu récompenser la réalisation d’un jeune garçon, fils d’une étudiante et le prix DADIE décerné à une étudiante de l’UL.

1 er prix, Monsieur Nicolas Dupuy, pour son texte graphique intitulé « A chaque mot son remède » 

Ici, l’auteur de l’œuvre nous explique que pour lui le racisme est le symptôme de maux non identifiés, sa réalisation représentant le fait qu’il peut être soigné. Il suggère ainsi l’espoir d’une guérison et la disparition du racisme.

2 ème prix, Madame Elsa Chaarani Lesourd, pour son poème intitulé « Noir, blanc, gris, rouge » :

Il s’agit d’une poésie dénonçant le racisme ordinaire et part de l’idée que les personnes qui sont nettement opposées au racisme sont souvent directement concernées par celui-ci, comme c’est le cas dans ce poème de ce père blanc qui a un enfant noir.

3 ème prix, Monsieur Baptiste Pitasi, pour son affiche format A3 intitulée « Tous égaux ! » 

Cette affiche vise à sensibiliser le public sur le fait que nous sommes tous égaux. Axé sur la matérialité de la peau, ce travail montre que sans cette peau nous sommes identiques.

Prix spécial Faculté, Monsieur Noé Darnane, pour son dessin intitulé « Un cadeau pour le papa de ma petite camarade » 

Le dessin de ce petite garçon de grande section de maternelle, de confession musulmane, était destiné au père d’une camarade de classe, celle-ci ayant confié au petit garçon que son père ne l’aimait pas beaucoup. Par cette participation, la mère du jeune garçon nous confiait souhaiter inciter les parents à laisser grandir leurs enfants dans un esprit de tolérance, étant tous différents et semblables à la fois.

Prix spécial Dadie, Madame Chafika Bakadir, pour sa photographie intitulée « Femme d’ici et d’ailleurs » 

Cette photo illustre l’univers de la jeune femme, sa culture, sa place à l’Université de Lorraine, ses valeurs, ses études, son goût pour le voyage ainsi que son entourage proche et ses souvenirs les plus chers.

A travers cette initiative, l’UFR DEA souhaite mettre en avant les thématiques de la lutte contre le racisme et les discriminations. Vous pourrez retrouver les œuvres des 12 finalistes du concours 2017 lors d’une exposition à la rentrée de septembre, ainsi que d’autres événements tout au long de l’année puisque l’UFR, la cellule DADIE et la mission Egalité-Diversité souhaitent pérenniser ce type d’actions et impliquer les étudiants et personnels de l’Université de Lorraine dans de nouveaux projets en ce sens.

L’UFR DEA souhaite remercier particulièrement toutes les personnes qui ont contribué à cet événement, tous les participants au concours pour leur créativité, l’Université de Lorraine et Monsieur Jonathan Ebolo Kingué pour leur soutien organisationnel et logistique, ses étudiantes de la cellule DADIE pour leur implication, la DILCRAH pour l’organisation et la subvention des projets mis en œuvre tout au long de l’année, ainsi que les nombreux relais médiatiques dont le concours a pu bénéficier, notamment grâce à la communauté d'agglomération de Sarreguemines, à son IFSI, et aux différentes associations caritatives qui ont participé au projet telles que L’armée du Salut.

En espérant vous retrouver nombreux lors des projets à venir !

1 er prix, Monsieur Nicolas Dupuy, pour son texte graphique intitulé « A chaque mot son remède »
3 ème prix, Monsieur Baptiste Pitasi, pour son affiche format A3 intitulée « Tous égaux ! »
Prix spécial Faculté, Monsieur Noé Darnane, pour son dessin intitulé « Un cadeau pour le papa de ma petite camarade »
Prix spécial Dadie, Madame Chafika Bakadir, pour sa photographie intitulée « Femme d’ici et d’ailleurs »

Remise des Diplômes à Polytech

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Les diplômés 2016

Le samedi 3 juin 2017, Polytech Nancy a organisé la Remise des Diplômes aux 144 ingénieurs de la promotion 2016.

La cérémonie a réuni diplômés et leur famille, institutionnels, enseignants et personnels administratifs, élèves-ingénieurs, ingénieurs.
Les diplômés ont été accueillis par leur Marraine, Françoise Thomas (promo 1975), Présidente d'un Club d'Investisseurs, et par Gérard Jeandel, Directeur de Polytech Nancy.

Pour marquer le passage de l'ESSTIN à Polytech Nancy, effectif depuis le 1er février, la Direction de l'Ecole avait invité des ingénieurs ISIN ou ESSTIN qui ont présenté leur parcours professionnel remarquable :

  • Didier Leroy (promo 1981), VIce-Président du groupe Toyota, n'ayant pu être là ce 3 juin, a parlé via un message vidéo
  • Jean-Marie Dubois, Chercheur de renom et Fondateur de l'Institut Jean Lamour
  • Jérôme Mathieu (promo 2005), Vice-Président de S2T Ingénierie
  • Loïc Girod (promo 2006), Directeur R&D de Novastep

Le dîner et le traditionnel gala de fin d'année organisés par le Bureau Des Elèves ont clôturé cette journée de festivités.

Diplômés
Le Directeur de Polytech Nancy, Gérard Jeandel

Les langues se délient à la BU ESPÉ de Lorraine, Site d’Épinal, 2ème édition

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L’objectif de l’UE 1020 consiste à construire les compétences nécessaires à la conduite complète d’un projet dans un cadre scolaire (classe, école).

La polyvalence et l’action partenariale sont au cœur de cette action et c’est dans cet esprit qu’ont travaillé les huit stagiaires du site ESPÉ d’Épinal sous la houlette de leurs formateurs, Latisha Mary, maître de conférence, Myriam Laurent, responsable pédagogique de la BU et Ernesto Feltrin, enseignant expert dans le domaine du numérique. Le thème choisi : théatrâliser un album de littérature de jeunesse en langue étrangère.

Après l’intervention de Judith Milligan, comédienne de l’association « Langues en Scène » et  plusieurs mois d’expérimentation dans leur classe respective, les  enseignants stagiaires ont partagé leur nouvelle compétence : raconter une histoire en anglais ou en allemand en théâtralisant le récit. Ainsi, le 2 juin 2017,  trois classes de CP  et CE1 de l'école Jean-Macé ont été accueillies à la BU ESPÉ du site d’Épinal où elles ont eu le privilège de découvrir deux contes : Goldillocks and the three bears et We're going on a bear hunt (Boucle d’or et les trois ours et La chasse à l’ours).

Puis, les enfants ont participé à deux activités basées sur la méthode TPR (Réponse physique totale), mise au point par l’Américain James Asher. Il s’agit d’une technique d’apprentissage des langues proposant de lier l’acquisition d’un mot à un geste. Les élèves bien qu’un peu intimidés au début n’ont pas tardé à s’investir pleinement dans l’action et nul doute que la mémorisation du lexique en a été grandement facilitée.

Enfin, pour terminer, les enfants ont été invités à découvrir une exposition interactive dans laquelle ils ont reproduit les parcours effectués par les protagonistes des deux histoires racontées. Ils ont pu également feuilleter et lire de nombreux albums où l’ours, héros commun aux deux histoires, était la vedette. Avant de retourner en classe, plusieurs enfants enthousiastes et conquis ont demandé : « On pourra revenir l’année prochaine ? » Une grande satisfaction pour les étudiants stagiaires qui n’avaient pas compté leur temps pour la réussite de cette action pédagogique.

Journée Handistaps du 27 avril 2017

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Handistaps est une journée qui a été organisée à la Faculté des Sciences du Sport par les étudiants de la filière "Activités physiques Adaptées - Santé" de la Licence STAPS.

Cette année est une étape importante puisqu'il s'agit de la 20ème édition de cet évènement qui rassemblait différents publics en situation de handicap , en vue de participer à une journée conviviale, où les participants ont eu l’occasion de découvrir de nouvelles activités physiques, sportives et artistiques.

Cela permet aux personnes de sortir de leur quotidien en partageant un moment d'amitié avec les organisateurs et les autres participants. Cette démarche a aussi pour but de mettre les étudiants en situation d'organisation et d'encadrement d'un événement sportif avec des personnes en situation de handicap.

C'est l'occasion ici de remercier toutes les institutions qui ont contribué à la réussite de cette manifestation ; et de montrer en images les temps forts de cet évènement.

La journée Handistaps :

La chorégraphie Handistaps

Retour sur la manifestation "Coopérer pour apprendre" - ESPE Epinal

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Coopérer pour apprendre - Manifestation Epinal

« Coopérer pour apprendre », tel était le thème de la manifestation et d’une table ronde qui se sont tenues à l’Ecole Supérieure du Professorat et de l’Education de Lorraine sur le site d’Epinal. Pas moins d’une centaine d’enseignants, enseignants-chercheurs et étudiants ont assisté aux débats et participé aux différents ateliers.

Cette manifestation inédite était organisée par l’Ecole Supérieure du Professorat et de l'Education de Lorraine Site d’Epinal et l’Institut Coopératif de l’Ecole Moderne (ICEM Pédagogie Freinet) et s’inscrivait dans le cadre du Cinquantenaire de la disparition d’un grand pédagogue : Célestin Freinet. A cette occasion, les intervenants ont pu souligner la vitalité du Groupe Vosgien de l’Ecole Moderne, l’un des plus anciens groupes pédagogiques créés sous l’égide de Célestin Freinet en 1936.

Dans un discours de bienvenue, Gilles Leuvrey, directeur du site d’Epinal de l’ESPE de Lorraine devait rappeler rappeler l’importance de l’ouverture aux pédagogies nouvelles.

Denis Morin, maître de Conférences et directeur de recherches à l'Université de Lorraine, a rappelé ensuite le contexte de cette manifestation : « la classe coopérative est une matrice démocratique d’apprentissage complexe, exceptionnelle. La coopérative ne s’insère pas plus ou moins harmonieusement dans la vie de la classe, elle est la classe même. La classe est alors ce laboratoire de savoirs où des élèves cherchent à comprendre le monde. On y écrit beaucoup, des journaux, des textes libres, à son gré, on y correspond, avec une ou plusieurs classes plus ou moins lointaines, seul ou en groupe, on en sort pour des enquêtes, des visites, des travaux guidés, dans des institutions, des usines, ou pour des voyages, à la rencontre des correspondants. C’est aussi la classe hors les murs. Cette façon de faire, de penser, d’apprendre, peut se transposer dans d’autres secteurs de la recherche sociale, non plus seulement au niveau de la classe. C’est le grand défi de l’éducation : vivre ensemble, et apprendre de la vie ».  Il a ensuite posé les principaux paradoxes d’une pédagogie dont la reconnaissance n’est toujours pas d’actualité dans l'hexagone et ce malgré les progrès de la recherche et de timides avancées dans les Instructions officielles.

Un débat, nourri autour des pédagogies coopératives, a suivi la projection du film de Delphine Pinson « C’est d’apprendre qui est sacré » … Dans les premiers pas d’une classe Freinetd’aujourd’hui.

Depuis sa sortie en février 2016, ce film de 52 minutes, frais et engagé a connu un accueil enthousiaste tant auprès des enseignants qu'auprès des autres acteurs du monde éducatif et notamment, les parents. Dans ce film, Delphine Pinson, jeune enseignante, à la recherche d’une école différente dans l'école publique, nous emmène vivre le premier mois d'école dans la classe de Michel Duckit. Militant et engagé, cet enseignant pratique depuis plus de vingt ans une pédagogie personnalisée dans laquelle les apprentissages émergent directement du vivant. Pas à pas, les enfants s'emparent de ces espaces de liberté, apprivoisent l'initiative et des étincelles naissent dans leurs yeux. Avec humour et sensibilité, ce film confirme que, dans l'école publique, permettre que chaque élève trouve sa place et s'épanouisse, c'est possible. Dans cette école publique, la salle de classe est un local tout ce qu’il y a de plus classique, rectangulaire et meublé de petites tables. Peu adapté, mal insonorisé pour une pédagogie fondée sur la liberté, la coopération et l’initiative de l’enfant. Et pourtant, par un astucieux agencement du mobilier, la pièce a été aménagée en ateliers : coin lecture bibliothèque, où chaque enfant peut s’isoler ; coin expression artistique (dessin, peinture…) ; espace consacré au musée de classe et aux expériences ; espace informatique… L’espace central est occupé par les bureaux où s'élabore le travail collectif, à deux ou isolément. Les contraintes, ce sont les enfants qui les découvrent. Ils s’organisent à partir du Conseil pour y faire place par une programmation de leur travail. Ainsi, pour que le courrier parte vers les correspondants, pour que le contact puisse se faire par Internet, il faut que tout le monde ait écrit. Alors on fixe une date limite pour la rédaction des lettres.  Des écrits qu’il aura fallu préparer, illustrer. Les enfants auront donc rassemblé une documentation pour répondre aux questions posées par les correspondants et on aura enrichi son vocabulaire pour exprimer le meilleur de ce qu’on voulait communiquer.

Dans cette classe, toutes les acquisitions sont l’aboutissements de projets, de démarches actives et motivantes analogues. Ce qui étonne dans l’attitude des enfants c’est qu’ils ne restent jamais inoccupés. L’enseignant se déplace de l’un à l’autre quand il est interpellé. Il répond, conseille, suggère. Un enfant a-t-il fini un travail qu’il s’inscrit aussitôt et cherche à réaliser autre chose. On en trouve au coin lecture, ou à l’expression pendant que certains terminent leurs apprentissages individualisés sur des documents/fiches ou des enquêtes à réaliser; d'autres enfin remplissent avec concentration leurs tâches de tuteurs auprès d'élèves en difficulté sur un exercice donné... « Pour autant ce n’est jamais la pédagogie du laisser-faire comme le laissent entendre certains médias, bien au contraire » explique l’enseignant qui laisse toujours la porte de sa classe ouverte, comme une invitation permanente à celles et ceux qui voudraient voir, connaître…

La table ronde a permis d’exposer les principes et l’actualité de la pédagogie Freinet, une pédagogie qui place l’enfant au cœur des apprentissages et dont les résultats sont unanimement reconnus par les scientifiques. Les discussions et les nombreuses interventions ont permis de relever les nombreux paradoxes liés à Célestin Freinet et ce qui nous vient de lui, ce qui perdure envers et contre tous : en France, il y a d’abord une double méconnaissance, celle de ses idées, et celle de l’actualité du mouvement pédagogique qu’il a créé ; en Europe et dans le monde, un mouvement et un modèle pédagogique reconnu, presque totalement ignoré dans l’hexagone. Autre paradoxe et non des moindre, la pédagogie Freinet est particulièrement développée en Finlande, un pays européen placé en tête des enquêtes internationales concernant la réussite scolaire. Le mouvement Finlandais de l’Ecole Moderne, Elämänkoulu, fondé en 1985 a joué un rôle fondamental dans les réformes du système éducatif. La coopération constitue un pivot du système éducatif avec les résultats que l’on sait. 

Célestin Freinet : un précurseur

Bar-sur-Loup, petit village des Alpes du Sud, 1920. Gravement blessé au poumon pendant la guerre, le nouvel instituteur, Célestin Freinet, a du mal à parler longtemps dans l’atmosphère éprouvante d’une classe primaire. Désemparé, Freinet se heurte à une autre évidence : l’école ne concerne pas les enfants, ainsi qu’en témoignent les sinistres tableaux de certaines méthode syllabiques… Né à Gars dans les Alpes Maritimes, en 1896, normalien à l’aube de la Grande Guerre, il devient instituteur avec la ferme intention de transformer une société « responsable de milliers de vies humaines ». Pour cela il mise sur une école laïque nouvelle où seraient données «  une éducation et une instruction humaines, sociales, démocratiques, populaires, une école apte à émanciper le peuple en le formant à la prise de ses responsabilités et à la défense de ses droits ». Il réalise alors que ses élèves sont prêts à prendre une part active dans l’enseignement. Mais il faudrait qu’ils puissent se frotter à la réalité. Le jeune instituteur les emmène donc, chaque après-midi, en classe-promenade, sous l’œil sceptique des villageois. De ces visites, sortiront des comptes rendus que les enfants recopieront et illustreront. Comment perpétuer l’existence éphémère de ces textes ? L’imprimerie est la solution choisie par Freinet qui, pour perfectionner et diffuser la nouvelle technique, crée en 1924 la Coopérative de l’enseignement Laïc (CEL). L’imprimerie débouche sur le journal de classe, la correspondance interscolaire, le fichier autocorrectif et la Bibliothèque de Travail (BT). En 1928, Freinet quitte Bar-sur-Loup pour Saint-Paul-de-Vence. En ces années de crise, sa pédagogie révolutionnaire devient le point de mire de la France entière. Le bouillant pédagogue devra ouvrir sa propre école, qu’il réserve en priorité aux fils d’ouvriers, et de paysans. Il créé alors l’Institut Coopératif de l’Ecole Moderne (ICEM) œuvre de recherche pédagogique et de mise au point des éditions. Le mouvement, qui compte alors une centaine d’adhérents, laisse une entière liberté politique à ses membres, et lutte pour une pédagogie populaire. Pendant le Front populaire, le mouvement regroupe plus de 1500 enseignants. Lutte pédagogique et activité militante ne font qu’un, alors, pour Freinet. Il rédige le Front de l’Enfance, une charte militante pour l’école du peuple. Pendant la guerre, il écrit, en camp de concentration, l’Education du travail, puis l’Expérience tâtonnée et l’Essai de psychologie sensible. Après la Libération, le mouvement reprend ses travaux, avec des milliers de nouveaux adhérents. Aujourd’hui, le Ministère de l’Education, après avoir longtemps jeté l’anathème sur la personne de son fondateur, recommande dans de nombreux textes l’utilisation des techniques Freinet, sans toutefois les nommer et surtout sans les replacer dans le contexte de la coopération et du vivre ensemble, ce qui pourtant fait toute l’originalité et la modernité de son précurseur. 

La coopération au coeur du processus de formation

Malgré les incitations à développer la coopération dans les programmes, c’est une pédagogie qui reste peu pratiquée. Et pourtant : les évènements encore récents démontrent l’urgence à développer une pédagogie de la coopération et du vivre ensemble, et au-delà ; coopérer est une démarche d’apprentissage dont tous les chercheurs s’accordent pour en plébisciter les valeurs et l’efficacité. Débats autour de la pédagogie mais aussi évocation d’un grand pédagogue avec tour à tour des interventions multiples d’Olivier Francomme, enseignant chercheur à l’Université de Picardie et Directeur du Laboratoire « China Cooperative Research Center for Moderne School » (Jiaxing, Chine de l’Est), chargé de mission à la Fédération Internationale des Mouvements de l'Ecole Moderne (FIMEM) (https://www.fimem-freinet.org/), Henri Louis Go, Maitre de Conférences à l’Université de Lorraine et Directeur de l'Institut Freinet de Vence   (http://ecolefreinet.org/) et Marc Hilger, responsable de l’Ecole inclusive Eis Schoule au Luxembourg. La présence d’enseignants, praticiens des pédagogies coopératives dans la salle a permis d’enrichir les débats et d'exposer les multiples facettes de la pédagogie Freinet mais aussi des pédagogies coopératives de la Maternelle à l’Université.

La deuxième partie de cette manifestation était consacrée aux ateliers de pratiques coopératives, dirigés et animés par des praticiens : enseignants et éducateurs des mouvements pédagogiques de Lorraine regroupés au sein du Collectif des Associations Partenaires de l’Ecole Publique (CAPE). Le public enseignant et étudiant s’est essayé à construire des jouets en bois en quelques minutes sous la conduite de Wilfried Furt, Colette Coquard et Delphine Briot des Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA) autour de mallettes bois ; créer des poésies avec l’atelier d’écriture de Philippe Vallet du Groupe Français d’Education Nouvelle (GFEN) ; découvrir et pratiquer les jeux coopératifs développés par Jean-Pierre Demoulin de l’Office Central de la Coopération à l’Ecole (OCCE) et s’essayer à monter des projets comme pourraient le faire des enfants ; vivre une approche interdisciplinaire comme fil conducteur au sein d’une école inclusive proposé par Marc Hilger et Ben Wagener Enseignants à Eis Schoul et membres du comité d’école de Eis Schoul (www.eisschoul.lu) au Luxembourg. L’Institut Coopératif de l’Ecole Moderne (ICEM Pédagogie Freinet) organisait quatre ateliers autour du texte libre avec Marguerite Bialas et Jose Tome, de l’individualisation des apprentissages avec Olivier Francomme et Denis Morin ; autour des messages clairs avec Sylvie Denet, Marie-Clotilde Etienne et Anne Mansuy-Etienne ; autour des débats philosophiques avec Philippe Durand ; enfin avec des pratiques de manipulation de robots autoprogrammés avec Laurent Bouhours. 

Coopérer pour apprendre... Une mise en situation concrète de pratiques coopératives alternatives, une manifestation à la fois scientifique et pédagogique autour de la coopération et de l’agir et un authentique moment de formation : apprendre et se former ensemble, en pratiquant.

Contacts avec les Mouvements pédagogiques de Lorraine :

Centres d'Entrainement aux Méthodes d'Education Active - CEMEA : http://www.cemea.asso.fr/

Groupe Français d'Education Nouvelle - GFEN: http://www.gfen.asso.fr/fr/accueil

Institut Coopératif de l'Ecole Moderne - ICEM Pédagogie Freinet : https://www.icem-pedagogie-freinet.org/

Office Central de la Coopération à l'Ecole - OCCE : https://www.icem-pedagogie-freinet.org/

 

Coopérer pour apprendre
Coopérer pour agir - Jeux coopératifs
Coopérer pour apprendre - Eis schoul
Coopérer pour apprendre

Examen de chinois (HSK) à l'Université de Lorraine : plus de 110 candidats

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Examen de chinois (HSK) à l'Université de Lorraine : plus de 110 candidats

L’Institut Confucius de l’Université de Lorraine est centre d’examen, habilité depuis 2013, à faire passer les épreuves HSK.

Le HSK est un examen visant à évaluer le niveau de connaissance en langue chinoise. C’est le test le plus reconnu en langue chinoise. Il est la référence mondiale dont se servent universités et entreprises pour évaluer le niveau de chinois d’une personne ayant suivi des cours de chinois.

En Juin dernier, l’Institut Confucius de l’Université de Lorraine, a organisé deux sessions d'examen HSK, l’une à Metz et l’autre au Luxembourg :

  • Le 10 juin 2017, près de 60 candidats se sont soumis à cette épreuve décisive sur le Campus de l'Ile du Saulcy, Metz.
  • Le 11 juin 2017, plus de 50 candidats ont répondu présents afin de passer l'examen HSK au Luxembourg.

Au total, l'Institut Confucius de l'Université de Lorraine a accueilli pour ce mois de Juin plus de 110 candidats, tous niveaux confondus.

Accueillis par quelques viennoiseries, c’est avec un léger stress que ces 110 candidats se sont présentés. Assez hétéroclites, ces participants âgés de 13 à 72 ans, originaires de Metz, Nancy, Strasbourg, Paris, Luxembourg et Allemagne se sont réunis pour se soumettre à l’épreuve. Différents échelons ont été passés, allant du HSK niveau 1 qui nécessite la connaissance de 150 caractères au HSK niveau 4 dont 1200 caractères sont à connaître et maitriser.

Metz - Salle d'examen HSK
Metz - Epreuve HSK
Luxembourg - Epreuve HSK

Mon mémoire MEEF en 180 secondes !

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Un grand bravo à Axel DEGROISSE, étudiant en M2 à l’ESPÉ de Lorraine, site de Metz-Montigny, et Professeur des Écoles-fonctionnaire stagiaire : 

Il sera notre candidat lorrain à la finale nationale du concours « Mon Mémoire MEEF en 180 secondes » organisée à Paris le 28 juin prochain et présentera son travail de mémoire en 3 minutes, pas une seconde de plus.

Nul doute que son sujet "Les travaux collaboratifs entre élèves permettent-ils de faire évoluer leurs représentations sexistes stéréotypées?" intéressera beaucoup le jury national comme il a captivé le jury lorrain.

Merci aux membres du jury et notamment à nos partenaires pour leur présence et leurs cadeaux : CASDEN, MAIF et MGEN.

Retour sur le parcours de Maturation des étudiants-entrepreneurs du PeeL 2017 !

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Jeudi 8 juin, le parcours de Maturation des étudiants-entrepreneurs du PeeL s’est clos par une rencontre entre porteurs de projets et partenaires pour célébrer les avancées réalisées.
Retour sur ces deux mois tournés vers la culture entrepreneuriale…

Esprit de promo

Afin d’inaugurer le parcours MeeP 2017, les étudiants-entrepreneurs ont été conviés début avril  à deux journées d’intégration organisées par le PeeL. Des ateliers sportifs animés par Absolu Sport furent organisés pour stimuler cohésion et esprit de promo entre les étudiants.

Ce fût également l’occasion de faire découvrir le PeeLaB aux étudiants, un espace de coworking en accès libre, entièrement dédié au travail, à l’accompagnement et aux rencontres.

Développer la culture entrepreneuriale

Durant neuf semaines, des conférences, formations et ateliers collectifs sur des thématiques entrepreneuriales ont été organisés.Les étudiants ont pu découvrir les notions clés de réseau ou de partenariat, et construire le  financement de leur projet grâce aux rencontres avec des experts-comptables d’Yzico.

Différents formateurs et mentors se sont succédés tout au long de ce riche programme. Les étudiants ont pu, entre autres, transformer leur projet en opportunité d’affaires grâce à la méthode IDéO© développée par Christophe Schmitt, ou encore découvrir l’entrepreneuriat solidaire grâce à une conférence sur l’économie sociale et solidaire.

Leur participation aux divers événements organisés par le PeeL, comme la journée de l’entrepreneuriat à l’IUT Nancy Brabois, fut l’occasion de conforter leur engagement dans l’écosystème entrepreneurial lorrain.

#MeeP2017

En plus d’un accompagnement personnalisé, les étudiants-entrepreneurs inscrits au parcours MeeP ont pu remplacer leur stage parleur propre projet entrepreneurial. Grâce à l’accompagnement et au soutien de leur chargé de projets, la plupart d’entre eux concourent aujourd’hui au Prix PEPITE : Tremplin pour l’entrepreneuriat étudiant.

Le Statut Etudiant-Entrepreneur est un excellent outil  pour les étudiants porteurs de projets. De cette manière, participer au parcours MeeP donne accès pour les étudiants à des savoir-faire et à des opportunités toujours plus intéressants, pour mieux booster leur projet.

 

Inscrivez-vous au Statut Etudiant-Entrepreneur !

 


Mut@Camp : le PeeLaB, un lieu dédié à l’entrepreneuriat

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Les jeunes entrepreneurs du PeeL

Grâce à l’appel à projets Mut@Camp, le Pôle entrepreneuriat étudiant de Lorraine (PeeL) a imaginé un lieu innovant au sein de l’Université de Lorraine favorisant le goût d’entreprendre ensemble.

C’est sur le campus Artem, dans le même bâtiment que l’Institut Jean Lamour, que le PeeL s’est installé en avril. A la disposition des étudiants : une salle de conférence, une pièce « connectée» avec tableau interactif, une autre dédiée à la visioconférence et au travail collaboratif via le numérique et un espace d’échange plus décontracté.

Ces aménagements ont été rendus possibles par l’appel à projet  Mut@camp, dont la finalité est d’adapter les espaces universitaires aux évolutions actuelles. Si le numérique en est une, la pédagogie par projet et collaborative en est une autre, centrale pour le PeeL. Car au-delà des mètres carrés et des technologies rendues accessibles, ces nouveaux espaces marquent pour le PeeL une nouvelle étape.

« Ça fait 6 ans que nous avons lancé le PeeL, rappelle Christophe Schmitt, vice-président délégué en charge de l’Entrepreneuriat et de l’Incubation au sein de l’Université de Lorraine. Nous n’avions pas d’espace pour permettre aux étudiants-entrepreneurs de travailler sur leur projet de façon collaborative. Maintenant, nous avons des lieux physiques. On peut s’y croiser, échanger. Le PeeL, c’est un lieu particulier au sein de l’Université de Lorraine, où le lien avec le monde socio-économique se matérialise ». A l’origine, ce sont 6 étudiants qui suivent l’enseignant-chercheur. Aujourd’hui, ils sont 193 à porter un projet de création d’entreprise ou d’association. Cette évolution montre un engouement autour de l’entrepreneuriat. Par « entrepreneuriat », il ne faut pas forcément entendre « création d’entreprise », mais plutôt développement  de la culture entrepreneuriale. Tous les étudiants-entrepreneurs (statut créé il y a 3 ans) ne fonderont pas leur propre affaire, mais ils auront appris à porter un projet et développer leur capacité à confronter leur idée initiale à la réalité de l’entreprise.

Briser l’isolement de l’entrepreneur

Ce nouveau lieu veut donc se consacrer à la création d’un écosystème, où porteurs de projets et entreprises, associations puissent aisément se croiser. Avec comme objectif de découvrir les pépites le plus tôt possible, bien avant que les questions de financement ne soient apparues. Car s’il est un constat qui met tous les étudiants du PeeL d’accord, c’est que seul, on ne peut rien faire. Camille, qui porte un projet en design urbain, précise : « Avant même le développement du projet, j’ai travaillé sur le développement de mon réseau ». Même son de cloche chez Lucas, qui souhaite créer une plateforme communautaire de transport par car : « A un moment, je me suis rendu compte que j’étais seul, et que j’avais besoin d’avoir du monde autour de moi pour avancer. »

C’est d’ailleurs cette dynamique qui est au centre de l’ouvrage de Christophe Schmitt, L’Agir entrepreneurial : repenser l’action des entrepreneurs, récemment récompensé du prix du meilleur essai en management par la FNEGE*. Comme l’auteur l’explique lui-même : « Au départ, on est jeune, on n’a pas d’expérience, on n’a pas d’argent. Alors on va devoir développer une idée claire de notre projet, et ce qui va nous y aider, c’est de se confronter aux gens. »

Et c’est toute l’importance du PeeLab : favoriser les collaborations entre étudiants et les échanges avec les entreprises.

 

*Fondation nationale pour l’enseignement de la gestion des entreprises

Etudiants Entrepreneurs au PeeL : ils réalisent du textile publicitaire made in France à destination des étudiants.

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L’idée de l’atelier Koton a germé  dans l’esprit Samuel Zeyer-Linden, il y a 4 ans alors qu’il était encore lycéen. Aprés une année en Technique de commercialisation, Samuel abandonne ses études en IUT pour  préparer un diplôme Étudiant-Entrepreneur. Cette formation lui donne le statut d étudiant, plus une année supplémentaire pour finaliser son projet et bénéficier de l’accompagnement proposé  par le PeeL dans le cadre du Statut National Etudiant-Entrepreneur.

Le jeune homme qui a toujours voulu créer sa propre entreprise,  embarque dans l’aventure son compère, Martin Delemer.  Ensemble, ils créent en septembre 2016, leur société de textile publicitaire et installent, grâce au PeeL, leurs bureaux dans l’espace de création et d’innovation messin le TCRM-BLIDA.

L’atelier Koton  a pour objectif  de se poser comme un facilitateur en proposant à sa clientèle (particuliers et professionnels)  un réel suivi et accompagnement, de la création à la livraison, d’objets publicitaires floqués. « Ça faisait longtemps que j’avais cette envie de création d’entreprise, je savais qu’il existait un marché et un véritable potentiel. Le PeeL a été un extraordinaire accélérateur dans notre projet » explique Samuel.
L’idée relativement simple des jeunes entrepreneurs s’avère en un temps record extrêmement payante. Grâce aux réseaux de Samuel, qui a évolué dans le milieu associatif étudiant et très un bon bouche à oreille, les premières commandes arrivent à peine quelques jours après la création de leur société. En 3 mois, Samuel et Martin affichent un excellent chiffre d’affaire ce qui leur permet d’acquérir leurs premières machines « On travaille dur depuis plusieurs semaines pour obtenir ce résultat… mais quelque part ça va très vite peut être trop vite. On a 12 mois d’avance sur notre calendrier prévisionnel, nos bureaux vont devoir se transformer en atelier si on veut être en mesure de s’occuper de la production et avoir un espace de stockage ».
Belle revanche pour ces rescapés du système scolaire qui avec cette belle croissance revoient leurs objectifs et réévaluent leur chiffre d’affaire. « On a vraiment bénéficié d’un bon timing, de bonnes opportunités notamment avec l’acquisition des machines et de notre premier stock de marchandises.  Le PeeL catalyse notre énergie et a un regard extérieur totalement neutre sur nos actions, c’est ce qui nous permet de ne pas faire de mauvais pas » poursuit Martin.

Martin et Samuel espèrent dans les prochains mois pouvoir se rémunérer mais surtout envoyer à plein temps une troisième personne avant de développer les nouvelles prestations de l’atelier Koton.

Pour plus de renseignements sur l’Atelier Koton :
> Site web : https://www.atelierkoton.com
> Contact : 06 44 27 57 20 | szeyerlinden@gmail.com

Retour sur la cérémonie de remise de diplômes de fin de deuxième cycle de Médecine

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Lancer de chapeaux des étudiants de Médecine

La 2ème édition de la cérémonie de remise des diplômes FASM3 a permis d’accueillir plus de 850 personnes (étudiants et leurs familles, enseignants et personnels administratifs) samedi 24 juin 2017 au Centre Prouvé de Nancy.
Cette cérémonie clôture le 2e cycle des études médicales de la promotion « Michel Cymes ». L’ambiance était bienveillante et festive.
Les étudiants se sont vus remettre leur diplôme, sésame pour poursuivre en 3e cycle.

Le club de jazz Saint-Lambert a ouvert les festivités, et les interludes musicaux de la pianiste et étudiante en Médecine, Marine Bombardier ont rythmé la cérémonie.

La cérémonie a été ponctuée de chaleureux discours adressés aux étudiants.

Le Doyen Marc Braun, et les membres de l’équipe pédagogique : Laure Joly, Bruno Chenuel, Stéphane Zuily, ont souligné le travail accompli par tous les étudiants qui ont fait face à une semaine intense et éprouvante d’ECNi.
Aude Lozano, Major de la promotion, a prononcé un discours émouvant et a congratulé tous ses camarades, ainsi que les membres actifs d’ECN Asso.

Pour conclure, le parrain de la promotion, Michel Cymes, a félicité tous les étudiants dans une vidéo surprise pleine d’humour et de bienveillance en rappelant à tous que l’ « Empathie » dans la relation médecin-patient devait rester un des concepts fondamentaux de l’exercice de la médecine.

La cérémonie s’est achevée par le célèbre lancer de chapeaux, suivi d'un cocktail et de diverses attractions comme l’utilisation d'un photo-booth mis à disposition des étudiants et de leurs familles.

Club de jazz Saint Lambert - Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3
Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3
Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3
Marine Bombardier - Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3
Aude Lozano - Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3
ECN Asso - Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3
Lancer de chapeaux -Cérémonie de Remise des Diplomes FASM3

Retransmission d'une chirurgie éveillée du cerveau

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Retransmission d'une chirurgie éveillée du cerveau

TELECOM Nancy a accueilli le 26 mai dernier une retransmission en direct d’une chirurgie éveillée du cerveau.

Destinée aux médecins et étudiants du CHRU de Nancy, la retransmission était également accessible aux élèves-ingénieurs de l’école : une occasion unique de découvrir les secrets du cerveau humain et les progrès extraordinaires accomplis par la neurochirurgie mais aussi la parfaite illustration des résultats de la recherche menée dans le domaine de l’encodage de flux vidéo et plus largement, de la santé numérique.

Cette retransmission chirurgicale était organisée dans le cadre du projet européen Celtic Plus de télémédecine E3 (E-health services Everywhere and for Everybody), auquel participe TELECOM Nancy aux côtés du CRAN (Centre de Recherche en Automatique de Nancy) sous la responsabilité du Pr Jean-Marie MOUREAUX, Directeur adjoint de l’école, en partenariat avec le CHRU de Nancy et ses services de neuro-chirurgie et neuro-oncologie, la Faculté de Médecine de l’Université de Lorraine, la plateforme de télémédecine medVC (Pologne), l’Ecole de chirurgie de Nancy et l’Institut Mines-Télécom au travers du Living Lab PROMETEE.

L’intervention a été pratiquée par le Dr Fabien RECH, neurochirurgien au CHRU de Nancy, sur une patiente atteinte d’une tumeur cérébrale (gliome de bas grade). Elle a été couplée à des phases de cours d’anatomie du cerveau en direct.

Qu’est-ce qu’une chirurgie éveillée ?

La chirurgie éveillée consiste à réveiller le(la) patient(e) pendant l’intervention et à cartographier son cerveau en direct en pratiquant des stimulations sensorielles afin d’observer ses réponses et de préserver les fonctions essentielles (motrice, langagière, cognitive, …) tout en enlevant le maximum de la tumeur.

Mise en œuvre par l’équipe du living Lab PROMETEE sous la houlette de Jean-Marie Moureaux, la retransmission a eu lieu simultanément dans un des amphithéâtres de TELECOM Nancy et dans celui du bâtiment Neurologie de l’Hôpital Central de Nancy. Plus de 250 participants ont ainsi pu suivre en direct et en intégralité (plus de 6 heures) ce cours dans des conditions exceptionnelles bénéficiant de flux vidéo en très haute définition et à forte interactivité (flux vidéo et audio multi-directionnels, instrumentation de tous les acteurs, etc.).

Cet événement met en avant la valeur du travail mené par des équipes pluridisciplinaires européennes (chercheurs, ingénieurs, médecins, informaticiens, élèves de TELECOM Nancy, …) autour de la télémédecine et de la compression d’images et vidéos médicales sans lequel une retransmission telle que celle-ci n’aurait pas été possible compte tenu notamment du volume de données transmises : dans le cas présent, 6 flux simultanés de vidéo HD et Full HD transitant via Internet vers 3 sites distincts.

Ceci constitue un apport majeur sur le plan pédagogique pour les étudiants en médecine qui sont ainsi directement connectés au bloc opératoire et peuvent interagir avec le chirurgien qui dispose alors d’un nouveau mode d’apprentissage au plus près de la réalité.

Contact : Jean-Marie MOUREAUX

A lire également :

Les étudiants de la faculté d’odontologie traquent les caries précoces

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Le 23 juin, les étudiants de la faculté d’odontologie ont été formés à un système de diagnostic des caries, ICDAS (International Caries Detection and Assessment System).

"Diagnostiquées précocement, les lésions carieuses initiales peuvent bénéficier d’une thérapeutique non invasive permettant d’assurer la réversibilité de la lésion, et la mise en place de mesures de prophylaxie adéquates. En ce sens, nous sommes fiers d'avoir initié nos étudiants à l'utilisation de l'indicateur ICDAS qui permet ce diagnostic, au travers de séances de travaux pratiques organisées à Nancy, car c'est un outil majeur, simple et d'une extrême nécessité", souligne Céline Clément, responsable du département de Santé Publique Odontologie et vice-doyen de la faculté d'odontologie de Nancy.

ICDAS est un indicateur reconnu internationalement. Système d’évaluation visuel des lésions carieuses, il permet de les classifier selon une échelle numérique simple et logique en 6 scores, depuis le score 1 (premier changement visuel sur l’émail) jusqu’au 6 (cavité vaste avec dentine visible). Cet indicateur est recommandé par de nombreux experts de la maladie carieuse à travers le monde. Il est facile à utiliser, ne nécessitant rien d’autre qu’un nettoyage des dents, un bon éclairage et une seringue à air.

Ce programme de formation sur ICDAS a également permis de favoriser la compréhension du concept de continuum carieux et l’identification correcte des différents stades de la maladie. Ce fut aussi l’occasion de faire le point sur les toutes dernières techniques dans la prévention et la prise en charge des lésions carieuses.

"La mise en place de cet enseignement a été très appréciée par tous les étudiants et par les équipes d’Odontologie pédiatrique et de prévention. Nos étudiants, sans aucun doute, ne regarderont plus les dents de leurs patients de la même manière : plus attentifs et moins invasifs à bon escient ! Il est primordial d’insister sur la prise en charge préventive, interceptive de la lésion carieuse pour maintenir le capital santé de nos jeunes patients", conclut Dominique Droz, MCU-PH et responsable du département d’Odontologie Pédiatrique de la faculté d’odontologie de Nancy.

 

La séance à l’UFR d’odontologie de Nancy a été conduite par le Docteur Dominique Droz, MCU-PH au sein du département d’odontologie pédiatrique de la faculté d’odontologie de Nancy et le Docteur Céline Clément, responsable du département de prévention-épidémiologie-économie de la santé-odontologie légale et vice-doyen de la faculté d'odontologie de Nancy. Elles ont été aidées par les enseignants de ces deux départements : les docteurs Stéphanie Jager (MCU-PH), Magali Hernandez (AHU), Thomas Mercier (AHU) et Alexandre Baudet (AHU). Elle a été organisée en partenariat avec la société Colgate.
De gauche à droite : Dr Céline Clément, Luc Rombach (Colgate), Dr Dominique Droz, Dr Magali Hernandez, Mehdi Aït-Lahsen (Colgate)
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