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Diplôme Universitaire Méthodes et Outils des Sciences Sociales Appliqués aux Terrains (DU MOSSAT)

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160 heures d’enseignement et 100 heures de travail personnel consacrées à la réalisation du mémoire de recherche.

C’est ce que propose le DU MOSSAT pour former des ingénieurs spécialisés en méthodes sociologiques et statistiques appliquées sur le terrain.

Cette formation, qui débute le 17 novembre 2017, s’adresse à toute personne souhaitant développer une compétence complémentaire à sa vie professionnelle : la création d’enquêtes de terrain en sciences sociales. Tous les secteurs sont actuellement sollicités quant à la connaissance de leur public. Ainsi, quel que soit le secteur professionnel (institutions, entreprises de relations publiques, administratifs, ressources humaines, travail social, association, santé, éducation…), cette formation donnera des outils opérationnels pour faire face à cette question.

Le DU MOSSAT donne toutes les compétences pour mener à bien des enquêtes qualitatives et quantitatives, à travers l’utilisation efficace de logiciels de collecte et d’analyse des données.

Témoignage d’Antigone MOUCHTOURIS, professeur de Sociologie, Responsable de la formation.

Pourquoi avoir créé ce DU ?

Cette formation nous a été demandée par le personnel de différentes institutions, auquel on demande de mener des enquêtes sur leur public. L'idée était le développement d'une formation adaptable, rapide, efficace, flexible et applicable directement à des modes de travail différents.

De notre côté, à la suite de nos enquêtes, nous avons observé que les formations longues ne sont plus adaptées pour les adultes. Réaliser une courte formation qui permet de connaitre trois logiciels ne peut être que bénéfique pour les personnes concernées.

Je voulais depuis longtemps créer une telle formation : souple, étalée et modulable. Cela donne à l'individu une certaine souplesse pour appliquer ce qu'il apprend directement dans son milieu professionnel.

Quel que soit l'âge, on peut vouloir développer des compétences et être au plus proche de ce que la modernité nous propose.

S'occuper du public sans le connaître est impossible à notre époque.

D'autre part, cette formation est conçue pour que l'individu continue à apprendre même hors de l'Université.

A long terme, l'éducation permanente se fera dans ces conditions, flexible et adaptable avec une pédagogie active ; ceci se retrouve dans la structure même de ce DU.

Quels sont les avantages de cette formation ?

Cette formation est conçue pour apporter des compétences et une certaine technicité au niveau des enquêtes et des logiciels utilisés : deux concernant les analyses quantitatives et un troisième pour l’analyse qualitative. Chaque participant aura l’obligation de mener une enquête de terrain de son choix, afin de mettre ses propres connaissances à l’épreuve. Il est en effet préférable que les enquêtes choisies soient proches de leurs préoccupations professionnelles. Ainsi les apprenants pourront appliquer immédiatement ce qu'ils ont appris dans leur vie professionnelle.

Se former à distance en utilisant les nouvelles technologies les aideront à gagner en autonomie au niveau de la construction du savoir. Ils passeront de la théorie à l’expérience par leur propre expérimentation sur le terrain.

Il y aura un réel suivi tout au long de la formation par un tuteur.

Au niveau du timing, le participant peut moduler sa formation selon ses besoins sur un ou deux ans. Dans le dernier cas, il y aura également un suivi actif.

Cette formation est donc intéressante tant au niveau du prix que de la qualité de l'enseignement et le sérieux du suivi. C’est une approche originale car tous les moyens pédagogiques de l’apprentissage vont être réunis

Nous pouvons ajouter que les intervenants de cette formation connaissent bien les enquêtes de terrain, présentant chacun une longue expérience sur la recherche action et ses apports dans la vie professionnelle.

  • Pré-rentrée : le 08/11/2017
  • Début des cours : le 17/11/2017

Lieu de la formation : SHS Sciences Humaines et Sociales - Metz

Infos et inscription : http://shs-metz.univ-lorraine.fr/content/du-mossat

Plaquette PDF jointe

Pièce(s) jointe(s): 

Nouveau MOOC « Conduite de réunion en anglais » : inscriptions ouvertes sur FUN

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Conduite de réunion en anglais

La conduite d’une réunion en anglais nécessite l’apprentissage et la maîtrise d’un certain nombre d’outils linguistiques spécifiques. Ce MOOC est destiné à en faciliter l’acquisition  pour aborder en toute sérénité une réunion en anglais.  Il s’adresse à un public d’étudiants ou de professionnels ayant un niveau intermédiaire en anglais, soit le niveau B2 du CECRL (Cadre européen commun de référence pour les langues).

Ce  MOOC est le fruit d’une collaboration entre le département ERUDI (Etudes et Ressources Universitaires à Distance) et la Sous-direction des Usages Numériques.

Les cours sont animés par deux Maîtres de Conférences à l’Université de Lorraine:

- Evelyne Muller, directrice adjointe d’ERUDI, responsable de formation en Langues Etrangères Appliquées (anglais des affaires, traduction spécialisée, civilisation et communication interculturelle).

- Marc Nussbaumer, directeur du département ERUDI. Très impliqué dans l'enseignement à distance et les TICE, il est à l'initiative de plusieurs projets dans le cadre des campus numériques et des Universités Numériques Thématiques.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 14 décembre 2017. La formation, non certifiante, débutera le 6 novembre 2017 et se terminera le 19 décembre 2017(en savoir plus, vous inscrire). Elle se déroulera sur cinq semaines présentant chacune de nouveaux outils linguistiques, spécifiques à la conduite de réunion en anglais,  au travers de vidéos et d’exercices d’auto-évaluation. Elle s’appuie sur une réunion de travail en anglais découpée en 5 séquences vidéo. Un forum permettra de poser des questions, d’échanger et de débattre autour des thématiques abordées.

Retour sur la 52ème promotion d’élèves-ingénieurs de l’ENIM diplômés à l’Arsenal

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La traditionnelle et prestigieuse Cérémonie de Remise des Diplômes de l’ENIM s’est tenue le 28 juin dernier à l’Arsenal de Metz en présence de 700 invités (proches, institutionnels, industriels et personnels)
pour partager ce moment chargé d’émotions qui clôt la vie étudiante des élèves.
Environ 150 élèves-ingénieurs ont reçu leur diplômes des mains de six parrains d’honneur issus du monde industriel.

Mut@camp à l’UFR SHS-Metz - Construire une identité forte autour de deux valeurs : excellence et convivialité

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La salle de pédagogie innovante de l'UFR SHS-Metz - Université de Lorraine

En janvier 2016 l’Université de Lorraine lançait, à destination de ses composantes, l’appel à projets Mut@camp visant “à insuffler une dynamique de transformation des campus en vue de les adapter au mieux aux évolutions actuelles : plus de technologies, de flexibilité, de fluidité et de mobilité”.

L’UFR Sciences Humaines et Sociales de Metz a élaboré “VITRAIL”, “la concrétisation, en trois volets, d’une ambition à imaginer et construire des espaces en collaboration avec ceux qui y vivent et y travaillent” :

  • une salle de pédagogie innovante
  • une salle d’idéation immersive
  • des tiers-lieux.

18 mois après le dépôt du dossier, Pierre Moulin, directeur de l’UFR SHS Metz et porteur du projet, revient, avec son équipe (1), sur la concrétisation de Mut@camp au sein de sa composante.

La salle de pédagogie innovante : “plus ludique pour les étudiants

Véritable lieu d’enseignement pour accompagner l’innovation pédagogique la salle dédiée peut accueillir une cinquantaine d’étudiants qui, en quelques minutes, passent d’un cours magistral traditionnel à plusieurs sous-groupes réfléchissant sur des problématiques différentes. “En configuration “sous-groupes” ces derniers s’approprient un espace de la salle, s’emparent d’un tableau blanc, d’un écran de télévision pour y connecter un ordinateur ou encore du tableau blanc interactif” souligne Catherine Kellner, maître de conférence en Sciences de l’Information et de la Communication et assesseure à la pédagogie.

Marie Chagnoux y voit “un changement dans la relation, dans la posture enseignants/étudiants. La classe devient collaborative, mobile. Les étudiants peuvent se voir, à la différence d’une configuration classique”. Également maître de conférence en Sciences de l’Information et de la Communication Marie Chagnoux imagine des échanges simultanés entre deux promos : “les équipements mis à disposition permettent tout à fait une collaboration en direct avec l’UFR SHS de Nancy par exemple”.

Globalement les retours sont très positifs. Les enseignants s’approprient le mobilier et les équipements informatiques. La souplesse d’utilisation de la salle va en faire un lieu rapidement incontournable ! Restent quelques travaux d’aménagement pour parfaire l’acoustique” conclut Pierre Moulin.

La salle de pédagogie innovante de l'UFR SHS-Metz - Université de Lorraine

 

La salle d’idéation immersive : “la possibilité de concevoir, mais aussi de s’immerger et de se déplacer dans les environnements, des objets numériques

Sur le modèle de la plate-forme Hyve_3D (pour en savoir plus) pilotée par l’équipe PErSEUs (Psychologie Ergonomie et Sociale pour l’Expérience Utilisateurs), l’UFR Sciences Humaines et Sociales souhaite se doter d’un deuxième espace permettant d’imaginer de nouvelles perspectives pédagogiques pour les autres filières.

Des utilisations dans le cadre des cursus de géographie (projection de cartes 3D pour la visualisation mais aussi pour la conception des aménagements), d’histoire (visite virtuelle de lieux historiques), des sciences de l’information et de la communication (construction d’espaces 3D, notamment pour les parcours “journalisme et médias numériques” et “création de projets numériques”) sont ainsi envisagés” s'enthousiasme Pierre Moulin. “Ce type d’équipement innovant au sein des formations universitaires renforce directement l’attractivité d’un site de formation et participe à son rayonnement”.

La salle d’idéation immersive devrait être opérationnelle au cours de l’année 2018.

Des tiers-lieux : “des espaces hybrides permettant d’articuler travail individuel, travail collectif, lieu de restauration et de convivialité en phase avec les nouveaux usages”

Les premières Assises de la Pédagogie en SHS (10 et 11 septembre 2015) “ont permis à chacun, quelles que soient sa fonction, ses envies et ses problématiques, de participer à l’important projet de mutation pédagogique à l’œuvre dans le collegium (pour en savoir plus)”. Pour compléter le travail de réflexion entamé lors de ces assises, une enquête de large ampleur a été proposée à destination des étudiants de l’UFR SHS-Metz. La consultation a confirmé la pertinence d’imaginer de nouveaux espaces.

Quelques éléments de l’enquête réalisée du 7 au 22 mars 2016 qui a enregistré 468 répondants sur un total de 2610 inscrits à l’UFR SHS-Metz sans compter les étudiants en thésards qui relèvent des laboratoires et des écoles doctorales – soit un taux de réponse de 18%.

Présence à l'UFR

Enquête - Présence des étudiants à l'UFR SHS-Metz

Distance habitation/UFR

Enqu-ête - Distance habitation/UFR SHS-Metz des étudiants

Présence à l’UFR pour y travailler, en dehors des heures de cours

Enquête - Présence des étudiants à l’UFR SHS-Metz pour y travailler, en dehors des heures de cours

Les équipements/espaces utiles à mettre en oeuvre

Enquête - Les équipements/espaces utiles à mettre en oeuvre à l'UFR SHS-Metz

A ce stade du projet tout est envisageable” souligne Pierre Moulin. “La restructuration du bâtiment (déménagement de l’UFR MIM - Mathématiques Informatique Mécanique et Automatisme notamment) ouvre de nombreuses perspectives. Le travail de réflexion est en cours avec la Direction du Patrimoine Immobilier entre autres”.

Pierre Moulin et son équipe attendent beaucoup de Mut@camp qui “vise à offrir aux étudiants de l’UFR les conditions d’une meilleure transmission des connaissances disciplinaires, encourageant l’interactivité et le travail collaboratif.

Ce projet permettra à l’UFR SHS-Metz de construire une identité forte autour de deux valeurs : excellence et convivialité.

 

(1) Membres de l’équipe projet

  • Marie Chagnoux - Chargée de mission TICE
  • Catherine Kellner : Assesseure à la pédagogie
  • Didier Sutter - Responsable administratif
  • Jean-Sébastien Rey - Assesseur aux moyens

[EN PASSANT PAR LA LORRAINE] / Parole à Georgy Kichin : Post-Doc UniGR à l’Institut Jean-Lamour

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Interview de Georgy Kichin, post doc russe de l’UniGR à l’institut Jean Lamour et Stéphane Mangin, enseignant-chercheur, Département Physique de la Matière et des Matériaux (P2M)

Lieu : Faculté des Sciences et Technologie de Nancy.

Date : 22.06.2017

 

Est-ce que vous pouvez vous présenter brièvement ?

GEORGY KICHIN (GK) : Je m’appelle Georgy Kichin et je suis post-doctorant en physique. Avant de commencer mes recherches ici, j’ai passé mon master et ma licence en Russie au Moscow Institute of Physics and Technology. J’ai réussi mon doctorat en Allemagne à la RWTH (Rheinisch-Westfälische Technische Hochschule) à Aix-la-Chapelle, mais en fait j’ai passé la majorité de mon temps à Jülich, le plus grand centre scientifique d’Allemagne situé entre Aix-la-Chapelle et Cologne. Après, je suis allé aux Pays-Bas où j’ai commencé à travailler sur le magnétisme, puis j’ai continué dans ce domaine quand je suis arrivé à Nancy.

Est-ce que vous pouvez résumer en quoi consistent vos recherches supervisées par Stéphane Mangin ?

GK : Ici nous réalisons des études sur la manipulation de l’aimantation par la lumière sur des couches minces (thin films). Le principe est de tirer un faisceau laser sur la matière et d’observer si le moment magnétique change d’orientation. Et  nous essayons de comprendre pourquoi cela se passe comme ça.

STEPHANE MANGIN (SM) : Pour les personnes qui liront ceci, je pense que nous devrions essayer d’être un peu moins technique. Les matériaux magnétiques sont semblables à une assemblée de petites boussoles et il est bien connu que l’aiguille de la boussole est attirée par un champ magnétique, c’est la raison pour laquelle elle indique le Pôle Nord. Mais très récemment, nous avons découvert qu’il n’était pas forcément nécessaire d’utiliser un champ magnétique pour faire bouger l’aiguille de la boussole, il est possible de le faire grâce à la lumière. Georgy est spécialisé dans l’étude de l’interaction de la lumière avec ce type de matériaux magnétiques. Il essaye donc de comprendre comment il est possible de modifier la direction des boussoles grâce à la lumière. Ces études sont intéressantes pour 2 raisons, la première est fondamentale : nous essayons de comprendre comment cela fonctionne à l’intérieur de la matière. Ce sont les premières études de ce type et il s’agit de phénomène extrêmement rapide, bien plus rapide que lorsqu’un champ magnétique est présent. La deuxième raison provient du fait que ce type d’étude pourrait donner lieu à des applications dans le domaine du stockage de l’information. En effet sur un disque dur l’information est stockée sur de fines couches de matériaux magnétiques. Lorsque « les  boussoles » à l’intérieur de la couche magnétique pointent dans une direction, cela définit un « 1 » et quand elles pointent dans la direction opposée un « 0 ».  

Quels étaient vos missions principales ?

GK : L’idée est de comprendre ce processus, ce phénomène physique. Et pour cela nous réalisons des séries d’expériences en y intégrant différents paramètres qui nous permettront de savoir pourquoi ça arrive et de décrire cette réaction.

Pourquoi avez-vous choisi de venir à Nancy en particulier ?

GK : Je suis très content d’être venu à Nancy et de faire partie de l’Université de la Grande Région. A la base j’ai commencé mes recherches sur le magnétisme aux Pays-Bas au sein d’un autre groupe de travail, mais finalement ils ont décidé de changer leur domaine de recherche. J’étais très intéressé par ce champ d’étude : la manipulation du magnétisme en lien avec l’optique et j’ai alors cherché une opportunité de continuer ces recherches dans un autre endroit et peu après j’ai rencontré Stéphane Mangin à une conférence et il m’a donné la chance de pouvoir venir ici.

SM : Nous avons tout de même besoin de travailler avec des personnes de Kaiserlautern parce qu’ils sont très compétents dans ce domaine et nous travaillons aussi avec des personnes de Sarrebruck car ils possèdent un microscope spécial pour observer des choses à une très petite échelle, il s’agit du MFM.

GK : Ils ont d’autres équipements pour observer des microstructures et nous échangeons également des échantillons que nous analysons dans nos laboratoires respectifs, afin de comparer les résultats.

Votre contrat de post doc bénéficie du soutien de l’Université de la Grande Région, que pensez-vous de ce regroupement d’universités ?

GK : Je réalise beaucoup d’expériences, c’est pourquoi je passe la quasi-totalité de mon temps dans mon laboratoire pour ensuite analyser tous ces résultats d’expériences. Mais de temps en temps, nous avons besoins de discuter de certaines expériences même si nous n’avons pas besoin de le faire très souvent. De plus cela prend du temps de se rendre à d’autres endroits et pendant ce temps, on ne travaille pas. Par exemple, en Allemagne j’ai des contacts avec Philipp Piro, la personne qui occupait mon poste avant moi et qui travaille maintenant à Kaiserslautern dans l’équipe du professeur Burkard Hillibrands. Par contre il nous arrive d’organiser des ateliers de travail et des conférences pour nous retrouver tous ensemble, donc oui en ce sens je dirais que l’UniGR est une bonne chose.

Quelle a été votre expérience pendant votre séjour de recherche en Allemagne (Sarrebruck, Kaiserlautern) ?

GK : Les liaisons ferroviaires pourraient être meilleures, mais j’ai bien peur que vous ne puissiez rien y changer.  Pendant mon doctorat, la langue que j’ai le plus parlée était l’anglais et j’ai également rédigé ma thèse dans cette langue. Le groupe de travail dans lequel j’étais était très international, mais ce n’était pas un problème, car la plupart de temps nous parlions anglais. J’ai un niveau plutôt intermédiaire en allemand, mais je ne l’ai pas pratiqué depuis longtemps. Et les allemands accordent beaucoup d’importance à « l’Ordnung » (l’ordre) et c’est là la plus grande différence que j’ai pu noter. Au final, c’est très enrichissant de comprendre comment les autres personnes fonctionnent au travail et comment elles se comportent en général. Je recommanderai cela aux autres post docs, une expérience internationale est toujours bonne à prendre.

Selon vous, y a-t-il des différences entre la Russie et la France en ce qui concerne le domaine de la recherche ?

GK : En général et aussi dans le domaine de la recherche, la Russie s’en sort mieux dans certains domaines et pour d’autres c’est moins bien. Nous avons quelques problèmes au niveau technique et concernant les machines que nous utilisons, c’est pourquoi nous ne pouvons pas tout faire en Russie.  C’est une des raisons principales qui poussent la Russie à maintenir de bonnes collaborations internationales.

Quand votre contrat arrivera à son terme, que ferez-vous ? Est-ce que vous pensez rester dans la Grande Région ?

GK : Nous prévoyons de finaliser ces recherches, car même si nous avons des résultats, nous devons les vérifier et les rassembler afin de produire un rapport.

SM : En fait, grâce au support de l’UniGR nous avons pu étendre la durée du contrat de Georgy d’une année supplémentaire, car nous avons reçu des fonds. Mais il est vrai que pour n’importe quel scientifique, 1 an reste une période très courte.

Avez-vous déjà été en contact avec l’Université de Liège et du Luxembourg ?

SM : C’est quelque chose qui est en discussion, mais Georgy est venu à la base pour travailler davantage à Nancy. Et par la suite, il pourra réaliser d’autres simulations pour ces expériences à Liège et au Luxembourg, il pourra notamment tester une autre technique : neutron scattering (la diffusion des neutrons). Je suis en contact avec ces personnes et l’année prochaine, Georgy pourra peut-être travailler avec eux. Les discussions et les collaborations avec les groupes de recherche des universités de la Grande Région sont toujours très actives comme le prouve l’organisation d’une journée sur les nanomatériaux le 2 Octobre 2017 à la faculté des sciences et technologies de Nancy. Vous êtes les bienvenus.

Merci Georgy, merci Stéphane pour cette interview, nous vous souhaitons le meilleur pour l’année prochaine et nous nous reverrons certainement à quelques conférences.

Interview réalisée par Johannes CALISKAN (chargé du projet UniGR) et Romuald GORNET (stagiaire DRIE / UniGR)

Contact : DRIE / UniGR 91 avenue de la Libération - 54000 Nancy

johannes.caliskan@univ-lorraine.fr

L’intelligence relationnelle, organisationnelle et collective au service de l’amélioration sociale et technique

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Formation Intelligence Collective Relationnelle Organisationnelle Collective

Libérer les ressorts de la créativité au travail, de l’innovation et générer des performances économiques, sociales et psychologiques, tels sont les objectifs principaux de la formation INROC proposée par l’IUT de Metz.

INROC - INtelligence Relationnelle Organisationnelle Collective

Cette formation composé de sept modules, entrecoupés de 5 périodes d’accompagnement tout au long de l’année (du 13 octobre 2017 au 14 septembre 2018), a été imaginée par Anne Carbonnel, responsable pédagogique et Maître de Conférences en Sciences de gestion à l’IUT de Metz.

L’intelligence collective propose des dispositifs et outils qui favorisent la créativité, l’innovation et la compétition dans les équipes et entre les équipes. L’intelligence organisationnelle permet une nouvelle conception des structures professionnelles circulaires, des règles et des ressources organisationnelles qui en découlent, selon les principes de l’holacratie et de la sociocratie. Enfin l’intelligence relationnelle développe la confiance tout en responsabilisant développement de compétences en communication authentique et bienveillante, de manière à développer le bien être au travail et l’intelligence émotionnelle dans le cadre des relations professionnelles.

 

“INROC, un très bel outil de développement personnel”

Sabine Bergerot Brousse a suivi la première session de la formation INROC : une “véritable expérience humaine”.

A découvrir également les témoignages de Sylvie Fortier et Mai le Thuy.

 

Programme et accompagnement à distance

Sept modules sont proposés en présentiel dans les locaux de l’IUT de Metz. Les modules sont entrecoupés de cinq périodes d’accompagnement à distance de 40 minutes pour chaque stagiaire. A disposition également un accès à une plateforme numérique collaborative (supports de présentation des intervenants, forums, …).

Modules :

  • du mythe du bonheur au travail à l’efficacité de l’organisation professionnelle libérée : apports des intelligences relationnelles, organisationnelles et collectives
  •  intelligence organisationnelle : diagnostic des besoins de progression
  • intelligence collective pour construire un management participatif, éthique et performant avec la sociocratie
  • intelligence collective : gouvernance partagée, processus et changements des posture
  • intelligence relationnelle : communication non violente au travail
  • intelligence organisationnelle : innover par la créativité à chaque niveau organisationnel
  • bilan organisationnel des changements & perspectives

La formation INROC est assurée par une équipe d’intervenants pluridisciplinaires disposant d’expériences professionnelles.

Renseignements pédagogiques :

Anne Carbonnel - anne.carbonnel@univ-lorraine.fr

Renseignements administratifs et inscriptions :

Muriel Schlatter - muriel.schlatter@univ-lorraine.fr - Tél. : 03 72 74 84 10

Plaquette de la formation (format pdf).

Les savoirs universitaires, l’un des leviers pour développer la formation continue

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Centre Pierre Janet - Metz

Directeur du Centre Pierre Janet, Cyril Tarquinio (1) est particulièrement attaché à la notion de formation continue : « les savoirs universitaires, les savoirs de la recherche, doivent trouver une concrétisation dans l’environnement social. Un des leviers est la formation continue ».

Le Centre Pierre Janet, véritable école de psychothérapie, est basé sur le campus du Saulcy à Metz. Il  offre aux professionnels, autant sur le plan local, régional que national, des compléments de formations sous forme de Diplômes Universitaires (ou inter-universitaire), dans le but de développer de nouvelles compétences. « Mettre en cohérence les connaissances apportées par le Centre Pierre Janet, issues de ses recherches, avec la demande sociale, avec l’évolution des besoins sur le terrain. Développer une logique de Formation Continue qui s’articule avec l’émergence de nouvelles exigences, de nouveaux savoirs, de nouveaux besoins sur le terrain », précise Cyril Tarquinio.

Parmi les projets en cours : l’utilisation des nouvelles technologies comme les MOOCs qui permettent aux professionnels d’accéder au savoir au niveau national et international. Cyril Tarquinio intègre également la notion d’ingénierie de formation : « la capacité à penser de nouveaux dispositifs, en lien avec une demande précise ».

Le Centre Pierre Janet reçoit de plus en plus de demandes de formations spécifiques, de dispositifs de formation intra-entreprise. Le Centre a formé une équipe de psychologues et de psychiatres à la prise en charge des victimes suite aux attentats de Paris. La formation sur mesure proposée a permis de former une vingtaine de professionnels opérationnels.

Le groupe CORA a également sollicité le Centre Pierre Janet pour développer l’ensemble de son management avec une formation à la prise en charge des risques psychosociaux et une sensibilisation à la problématique de la souffrance au travail.

Pour Cyril Tarquinio, « la formation continue est un espace essentiel pour nous requestionner, non seulement sur les objets de notre formation, mais également sur les dispositifs pédagogiques et les modalités pédagogiques qu’on sera capable de déployer à l’avenir ».

Un nouveau challenge attend le Centre Pierre Janet : « inventer de nouveaux dispositifs pour toucher davantage de publics et rendre plus attractif l’université, nos formations et nos laboratoires ».

La vidéo a été réalisée dans le cadre du colloque de la Formation Continue à l’Université qui s’est déroulé du 22 au 24 juin 2016. Une occasion pour recueillir plusieurs témoignages autour de la Formation Tout Au Long de La Vie. Enseignants, entreprises et stagiaires de la formation continue nous ont fait partager leur expérience.

Site web du Centre Pierre Janet.

Page Facebook.

(1) Enseignant-Chercheur à l’Université de Lorarine depuis plus de 18 ans, Cyril Tarquinio enseigne et dirige dans le Master PsychologieSpécialité Psychologie de la santé, psychologie clinique

Construction d’un nouveau catalogue en ligne des diplômes et des formations de l’université

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Engagée dans la refonte de ses parcours de formation, l’université construit en parallèle une nouvelle approche afin de les présenter à ses publics. Qu’il s’agisse des bacheliers, des personnes en reprise d’études ou des entreprises en recherche de formations qualifiantes pour leurs personnels, tous ont été pris en compte dans la démarche d’élaboration d’un nouveau catalogue complet des diplômes et des formations. Il vise bien à une présentation exhaustive des formations offerte par l’université.

Depuis plus d’un an, les équipes sont mobilisées pour envisager et projeter, de la manière la plus pertinente possible, les formations universitaires. Il s’agit de prendre en compte les attentes des utilisateurs en termes d’orientation, de conditions d’études, de prérequis mais aussi de débouchés. Les responsables des diplômes et des composantes de formation ont été associés et impliqués tout au long de la rédaction de la présentation des diplômes et des formations.

Le site présentant les diplômes et formations aura plusieurs atouts : une navigation simplifiée et plus ergonomique, permettant une navigation personnalisée, des supports évolutifs, une rédaction plus communicationnelle. L’ergonomie est testée par des lycéens de deux lycées partenaires, des étudiants, les collègues des scolarités et les responsables de formation avec l’utilisation d’un outil issu de la recherche du laboratoire Perseus.

Enfin, ce catalogue des formations est conçu pour être inséré dans les sites des composantes évitant ainsi la double saisie des informations à destination des étudiants.


Candidatez au Statut Etudiant-Entrepreneur dès maintenant !

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Etudiants ou jeunes diplômés, vous êtes porteurs d’un projet entrepreneurial ?
Profitez du Statut Etudiant-Entrepreneur pour mettre toutes les chances de votre côté !

Pourquoi devenir étudiant-entrepreneur ?

Le Statut National Etudiant-Entrepreneur donne l’accès à un accompagnement de qualité pour mener à bien votre projet. Pour en profiter, une inscription au sein d’un Pôle Etudiant Pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat (PEPITE) est nécessaire.
Le Pôle étudiant entrepreneuriat de Lorraine (PeeL) en fait partie et vous accompagne gratuitement à l’Université de Lorraine.

Quels sont les bénéfices ?

En plus de conserver le statut d’étudiant, vous bénéficierez :

  • D’un accompagnement personnalisé
  • D’un accès à des espaces de co-working
  • D’un accès à des ateliers, formations et conférences
  • De la possibilité de remplacer votre stage obligatoire par votre projet entrepreneurial
  • De la possibilité d’effectuer une année de césure

Comment ça marche ?

Après la validation de votre dossier de candidature, un chargé de projets du PeeL vous accompagnera sous forme de rendez-vous mensuels personnalisés. En plus de ses conseils et de son suivi, il vous intégrera à l’écosystème local entrepreneurial pour développer votre réseau.

Où?

Le PeeL met à disposition des espaces de co-working pour travailler, rencontrer d’autres étudiants-entrepreneurs et recevoir vos rendez-vous au PeeLaB (sur le campus Artem à Nancy) et à l’IAE de Metz.

Pour qui ?

Tous les étudiants de Lorraine, à partir du Bac et sans limite d’âge, peuvent candidater.
Les jeunes diplômés, dans le cadre du Statut Etudiant-Entrepreneur, devront s’inscrire au Diplôme Etudiant-Entrepreneur, afin de pouvoir bénéficier du statut d’étudiant pendant une année supplémentaire.

Des questions ? Rencontrez le PeeL sur le campus Artem !

Postulez au Statut Étudiant-Entrepreneur

Inscriptions encore ouvertes pour le DU Religions, laïcité et inclusion sociale

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L'Université de Lorraine ouvre un diplôme universitaire portant sur l'étude du fait religieux et intitulé  "Religions, laïcité et inclusion sociale" (début des enseignements prévus le 5 octobre). Des places restent disponibles et la date limite pour l'inscription administrative est fixée au lundi 18 septembre.

Le DU Reliens a pour objectifs de :

  • Transmettre un socle commun relatif au contexte socio-historique, au droit et aux institutions françaises notamment au principe de laïcité et à ses mises en œuvre et applications.
  • Fournir des outils en vue de faciliter la gestion des personnels et des Institutions cultuelles, de préparer les aumôniers à l’exercice de leurs fonctions dans le cadre des institutions françaises.
  • Promouvoir la connaissance du fait religieux et des religions implantées sur le territoire français, au regard notamment de leur organisation et de leurs doctrines dans le but de créer un espace de dialogue entre les publics et de décryptage des discours et positions extrémistes et/ou sectaires.

Cette formation est ouverte à tout public et peut faire l'objet d'une prise en charge par l'employeur ou une structure cultuelle comme la Fondation pour l'islam de France (courrier du 28/06).

En téléchargement :

Découvrez également le DU RELIENS sur le site de l'UFR Sciences humaines et sociales - Metz.

NB : les cours auront lieu tous les lundis (ainsi que 5 mardis) du 2 octobre 2017 au 18 avril 2018.

A la Faculté d’Odontologie de Nancy, l’hygiène des mains s’apprend à travers le serious game

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appareil surewash
Pour former ses étudiants à l’hygiène des mains, la faculté d’Odontologie de Nancy a fait l’acquisition de cinq unités de formation conçues et vendues par la société irlandaise SureWash (Glanta Limited). 
 
Encore plus que le cancer, les crises cardiaques ou le diabète, les infections nosocomiales ou hospitalières seraient les plus meurtrières. En effet, les infections contractées en établissement de santé toucheraient environ 1,4 million de personnes dans le monde selon l’OMS. La formation à l’hygiène des mains est donc primordiale pour les futurs professionnels de santé.
 

Comment fonctionne l’appareil ?

L’unité de formation SureWash prend soit la forme d’un chariot roulant, soit celle d'une unité entièrement portative, équipés d’un écran et d’une caméra pour filmer les mouvements des mains en temps réel. Cet équipement propose un procédé s’appuyant sur un jeu de social gaming ludique. Ainsi, dans un premier temps, le logiciel affiche sur l’écran des conseils sur la manière dont les professionnels de santé doivent se frictionner les mains. Les utilisateurs sont ensuite invités à répéter ces gestes face à la caméra. Le logiciel analyse les détails des gestes des mains et partage avec l’utilisateur un feedback personnalisé, en fonction de la qualité du nettoyage et de sa conformité par rapport aux gestes proposés par l’appareil. Si le niveau est bien réalisé, l’utilisateur peut passer au niveau suivant (plus rapide, puis sans tutoriel visuel), sinon il doit recommencer jusqu’à réalisation des bons gestes. 
 
Test de la machine surewash
Test de la machine surewash

Traduire, beaucoup plus que connaître des langues

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Jorge Valdenebro Sánchez est lecteur au département de Langues Etrangères Appliquées (LEA). Il donne des cours de Traduction économique et d'Initiation à la traduction aux étudiants de licence. Il nous parle aujourd'hui de son métier souvent méconnu par le grand public. Pourtant le traducteur est l'acteur central qui rend possible le dialogue, la découverte des autres cultures au grand public ...

Traduire, beaucoup plus que connaître des langues

Quand les gens me demandent ce que j’ai étudié, je réponds toujours la même chose : Traducción e Interpretación[1]. Cependant, face à cette réponse, un pourcentage important fait le commentaire suivant : ah ! Vous avez étudié des langues ! Pas du tout. Bien qu’un traducteur doive connaître des langues (évidemment, c’est très important), il faut être conscient que cela n’est qu’une partie d’un ensemble de compétences présentes chez le traducteur et l’interprète. C’est triste, car cela montre que la société n’est pas vraiment consciente de l’importance que les traducteurs et interprètes ont de nos jours. Vous êtes-vous demandé grâce à qui vous pouvez lire, par exemple, un livre de William Shakespeare, regarder une série américaine en français ou comprendre, parfaitement, un discours de Mariano Rajoy ? Oui, grâce au traducteur et grâce à l’interprète. Une figure, je me permets de le dire, invisible, mais qui existe.

Pourtant, pourquoi ces activités ne peuvent pas être réalisées par une personne connaissant deux langues ou une personne bilingue ? Même si quelqu’un est bilingue, il faut avoir, comme Hurtado Albir[2] (2011) indique dans son livre Traducción y traductología. Introducción a la traductología, une compétence en traduction et une série des sous-compétences. Bien-sûr qu’il est nécessaire que le traducteur et interprète connaisse la langue, mais ce n’est une des sous-compétences qui font partie de la compétence en traduction. Les traducteurs et interprètes doivent maîtriser la spécialité avec laquelle ils travaillent. Il faut essayer de se rapprocher le plus aux professionnels du domaine concerné. C’est-à-dire, si nous sommes en train de traduire un testament du français à l’espagnol, nous devrions maîtriser le droit des successions, non seulement celui de la France, mais aussi celui de l’Espagne. Par conséquent, cela suppose un travail énorme, un processus d’apprentissage constant et une recherche documentaire importante. Ce dernier point est un autre des aspects que le traducteur doive contrôler, parce que, bien que l’expérience aide, nous ne pourrons jamais être au même niveau que le professionnel en droit ou de n’importe quelle matière. C’est pour cette raison que savoir chercher et choisir une source fiable et convenable est aussi important la connaissance de langues.

À la suite de ce dernier aspect, j’aimerais démonter un mythe assez étendu. Traduire ne consiste pas à faire usage des dictionnaires pour changer un mot par un autre dans une autre langue. Traduire c’est beaucoup plus que cela. On peut même passer des heures à essayer de trouver un concept. Ce n’est pas si facile qu’on pense. De plus, dans les domaines spécialisés, il n’est pas rare que les termes n’apparaissent pas dans les dictionnaires courants. De la même manière, il faut maîtriser la langue écrite (pour les interprètes, la langue orale). Il y a ceux qui pensent que c’est un art au lieu d’une technique. Quoi que ce soit, cela exige du traducteur un grand travail constant. Aimer la lecture est donc une nécessité pour savoir s’exprimer correctement et avec un vocabulaire adéquat.

Vous pouvez donc vous rendre compte que la personne chargée d’une traduction ou d’une interprétation réalise un exercice compliqué. J’insiste sur l’idée de personne, puisqu’il y a une croyance qui affirme que cette profession va disparaître. Les traducteurs automatiques vont, tôt ou tard, remplacer le traducteur. Je vous affirme que c’est absolument faux, malgré les avances de la technologie. C’est vrai que la technologie aide, mais elle ne remplacera jamais le travail d’un être-humain. D’après moi, ce serait comme si on pensait que la technologie pourrait éliminer le travail des médecins et donc une machine réaliserait leur tâche. Vous laisseriez-vous opérer du cœur par une simple machine ? Je ne le pense pas, parce que les médecins, tout en faisant usage de la technologie, ne laissent jamais une machine travailler sans leur surveillance. Alors, de même que vous ne vous feriez jamais opérer par une simple machine, ne pensez jamais qu’une traduction peut être réalisée par une personne n’ayant que des connaissances linguistiques et sans les connaissances en traduction nécessaires. On le voit sur cet article, traduire est beaucoup plus que connaître des langues.



[1]Licence (espagnole) en Traduction et Interprétation.

[2]Hurtado Albir, Amparo (2011) : Traducción y traductología. Introducción a la traductología, Madrid : Ediciones Cátedra.

 

Les étudiants de la Faculté d'Odontologie initiés à l’hypnose au cabinet dentaire

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Le mercredi 13 septembre 2017, les étudiants de 5e et 6e années de la Faculté d’Odontologie ont été initiés à l’hypnose par Claude Parodi, chirurgien-dentiste et praticien en hypnose. Il est formateur au sein de l’institut Hypnoteeth.
 
Au cours de cette journée, les étudiants ont pu découvrir l'intérêt de l'hypnose dans la pratique médicale et dentaire grâce à des vidéos cliniques et des exposés pratiques.
 
L'institut Hypnoteeth est dédié à la formation des professionnels de santé spécialisés dans la douleur aiguë et qui réalisent des gestes invasifs : médecins, chirurgiens-dentistes, infirmiers, sages-femmes, kinés ...
 
Sa mission est la promotion des techniques de communication hypnotique dans le domaine de la santé.
 
Hypnoteeth est membre de la Confédération Francophone D'Hypnose et de Thérapies Brèves (CFHTB).

Les inscriptions pour la préparation aux concours administratifs sont ouvertes jusqu’au 1er octobre

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La faculté de Droit, économie et Administration de Metz propose la préparation aux concours administratifs. Cette formation vise à préparer les concours tels que les IRA, les concours du ministère de l’intérieur (gendarmerie, police), concours des finances, etc.

Des places sont encore disponibles pour l’année universitaire 2017-2018 et la date limite pour l'inscription administrative est fixée au 1er octobre.

Les objectifs de la préparation aux concours administratifs :

  • Rappeler les notions essentielles et corriger les travaux individuels afin de préparer les candidats aux attentes des jurys.
  • Fournir les outils et la méthodologie en vue de maîtriser facilement les sujets des concours.
  • Des entrainements écrits et oraux dans le but d’aborder sereinement les épreuves.

Pour qui ?

Cette formation est ouverte à toute personne remplissant les conditions nécessaires pour se présenter aux concours administratifs : fonctionnaires des trois fonctions publiques, salariés du secteur privé, demandeur d’emploi, etc.

Pour en savoir plus :

Retrouvez le descriptif détaillé de la formation sur le site de la faculté de droit, économie et administration

Et en téléchargement :

La présentation de la formation ainsi que le formulaire d'inscription

Lancement du Master Border Studies

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Avec le lancement du nouveau Master Border Studies en ce premier semestre universitaire 2017/2018, l’offre des études transfrontalières au sein de la Grande Région a été élargie. Proposé par les universités de Sarre, Lorraine, Luxembourg et Kaiserslautern, ce cursus international traite de la complexité des questions économiques, politiques, sociales et culturelles des frontières et des régions frontalières en Europe et dans le monde.

Lors du séminaire d'introduction des 8 et 9 septembre 2017 à Schengen, ville symboliquement européenne, les 15 étudiants inscrits ont appris à se connaitre et ainsi pu rencontrer les responsables des cours des quatre universités partenaires ainsi que d'autres professeurs intervenants du parcours tri-national.

Article complet à lire sur le site de l'UniGR : http://www.uni-gr.eu/fr/node/2362


Ouverture du MOOC "Verdun 1917-1918 : batailles oubliées ? Français, Allemands et Américains dans la tourmente"

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Image du MOOC Verdun 1917-1918 : batailles oubliées ? Français, Allemands et Américains dans la tourmente

Un second MOOC sur Verdun et la Grande Guerre

Après un premier MOOC intitulé "Sur les pas des combattants de Verdun : 1916 - 2016" qui avait réuni plus de 7000 inscrits et portait sur la place de Verdun dans l'Histoire et la mémoire de la Grande Guerre, créé à l'occasion du Centenaire de la bataille de Verdun, la collaboration entre le Mémorial de Verdun et l'Université de Lorraine voit naître un nouveau MOOC (Massive Open Online Course).

Ce nouveau cours "Verdun 1917-1918 : batailles oubliées ? Français, Allemands et Américains dans la tourmente" revient sur les évènements qui ont marqué la région de Verdun lors des deux dernières années de la Première Guerre mondiale.

Plus immersif, fort de l’expérience du premier projet, ce MOOC vous entraînera cent ans en arrière dans la région de Verdun, durant les évènements de 1917 et 1918.

Une expérience riche

À travers une vingtaine de vidéos incluant des cartes, des photographies et des films d’époque ou d’aujourd’hui issus d’une banque de plus d’un millier d’images réunies pour l’occasion, ce MOOC propose une immersion dans l’Histoire. Des documents d’époque complètent le cours et nous projettent au siècle dernier à travers les faits et les témoignages.

Des quiz fournissent la possibilité de tester ses connaissances pour chaque sujet abordé. Enfin, le forum du cours offre à tous d’échanger sur la Grande Guerre ; spécialistes, amateurs et néophytes s’y rencontrent dans d’intéressantes discussions sur l’Histoire de cette période.

Plus d’infos et inscriptions

Le cours se déroulera sur la plateforme FUN (France Université Numérique) à partir du 25 septembre pour une durée de 4 semaines. Pour vous vous inscrire, rendez-vous à l'adresse suivante : https://www.fun-mooc.fr/courses/course-v1:lorraine+30006+session01/about

Un travail d’équipe

Les deux MOOC sur Verdun ont été réalisés en collaboration avec le Mémorial de Verdun et en partenariat avec l’Académie Nancy-Metz et plusieurs intervenants extérieurs. On retrouve dans cette grande équipe :

  • Thierry Hubscher, Directeur du Mémorial de Verdun,
  • François Cochet, Professeur des Universités en Histoire Contemporaine à l'Université de Lorraine (Metz), membre du Conseil scientifique national de la Mission du centenaire,
  • Jérôme Dumont, Enseignant d'Histoire-Géographie, détaché au Mémorial de Verdun et membre du service éducatif du Mémorial, il est l'instigateur du MOOC,
  • Nicolas Czubak, Enseignant d'Histoire-Géographie, détaché au Mémorial de Verdun et membre du service éducatif du Mémorial de Verdun,
  • Rémy Porte Lieutenant-colonel, Docteur et HDR en Histoire et référent "Histoire" pour l'armée de terre,
  • Franck Meyer, Enseignant d'Histoire-Géographie au lycée Margueritte et Membre du comité scientifique du Mémorial de Verdun.

La Sous-Direction des Usages du Numérique de l’Université de Lorraine a assuré la mise en œuvre de ce projet à travers ses équipes TICE et Audiovisuel et Multimédia sur les sites de Metz et de Nancy.

Les cours ont été réalisés dans le dispositif du « Studio professeur » accompagné de tournages extérieurs dans la région de Verdun et du Chemin des Dames. La post-production incluant un important travail de montage vidéo et d’infographie sur les cartes et les images a été assurée en étroite collaboration avec l’un des auteurs, Nicolas Czubak.

Visite délégation Chinoise de la Faculté de Médecine de Wuhan

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cérémonie de plantation d'un arbre à suif -  Faculté de Médecine

Mardi 26 Septembre, la Faculté de Médecine a reçu une délégation chinoise de la Faculté de Médecine de Wuhan dans le cadre de la filière de formation Franco-Chinoise.
À cette occasion, une cérémonie de plantation d'un arbre à suif provenant de la province du Hubei (Chine) a été organisée, en présence du Professeur Yu Baoping, vice-Doyen, de Messieurs Zeng Dejun et Bian Zhiguo, du Docteur Yu Feng, du Doyen Marc Braun, des Professeurs Jacques Hubert, Bernard Namour, Georges Weryha, Jacques Magdalou, Gilbert Faure et du Docteur Mathias Poussel.
Événement symbolisant les liens tissés depuis 20 ans entre la Faculté de Médecine de Wuhan (Chine) et la Faculté de Médecine de Nancy, elle a clôturé les discussions pédagogiques et s'inscrit dans la continuité des échanges Franco-Chinois.

cérémonie de plantation d'un arbre à suif
cérémonie de plantation d'un arbre à suif
cérémonie de plantation d'un arbre à suif

Journée de formation des nouveaux maîtres de stage des universités à destination des médecins généralistes

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Journée de formation des MSU

La médecine générale a cette spécificité de ne s'exercer qu'en dehors du cadre hospitalier.  Aussi depuis longtemps, les stages ambulatoires font partie du paysage de formation des internes de médecine générale.

Les différentes réformes au cours du temps accentuent et amplifient la formation ambulatoire, rendant chaque année le nombre de maîtres de stage nécessaires plus importants.

La dernière réforme du DES (Diplôme d'Études Spécialisées) de Médecine Générale, se met en place au cours de la rentrée 2017, et à cette occasion un effort particulier de recrutement a été fourni.

38 médecins généralistes, nouveaux maîtres de stage, étaient donc accueillis les 6 et 7 septembre derniers dans l'amphithéâtre Lepois, pour une formation spécifique à l'accueil et l'accompagnement des internes.

Dans une ambiance conviviale mais studieuse, les différents médecins généralistes ont pu se former à la pédagogie spécifique de l'accompagnement au cours de ce stage.

La formation s'est conclue par un film qui illustrait les différentes situations, film réalisé pour l'occasion par les équipes de communication de l'Univeristé de Lorraine 

Cette formation, réel succès, est amenée à être répétée régulièrement et pourrait même s'étendre aux spécialités d'organes dont le cursus de formation s'ouvre de plus en plus sur l'ambulatoire, les médecins généralistes pouvant faire figure d'éclaireurs pour leur confrères spécialistes.

Journée de formation des MSU
Journée de formation des MSU

Anciens diplômés « INFO-COM » de l’Université de Lorraine : Appel à participation

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Le  Département Information-communication de Nancy , en collaboration avec  le SOIP (Service d’orientation et d’Insertion Professionnelle) de l’Université de Lorraine,  organise :

Une  Rencontre Étudiants Diplômés – RED 2017
le  vendredi  10 novembre  2017,  de  14h  à  16h

Sur le campus Lettres et sciences humaines
23,  Bld Albert 1er 
54000 NANCY

Cette manifestation a pour objectif de permettre aux étudiants  d’échanger avec des anciens de l’Université sur les métiers et débouchés de leur filière.

Venez témoigner sur votre  cursus universitaire,  votre  parcours professionnel, vos  choix, bref, sur tout ce qui  vous  a conduit à exercer votre métier actuel.

Le SOIP prend en charge vos frais de déplacement.

Merci de prendre contact avec le département Info/Com (samuel.nowakowski@univ-lorraine.fr)avant le 30 octobre 2017.

 

EEIGM job-dating : une première édition réussie

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EEIGM Job dating

L’École Européenne d’Ingénieurs en Génie des Matériaux (EEIGM), située rue Bastien-Lepage à Nancy, a transformé ses locaux en job-dating le temps d’une journée, le vendredi 22 septembre.

Speed dating ? Non, non mais vous y êtes presque : Job-dating !

Job-dating ? Quèsaco ? Pour faire simple : l’objectif a été de mettre en relation des élèves et des ingénieurs EEIGM, à la recherche de stage ou d’emploi, et des entreprises qui cherchent à recruter. Plus simple encore : il s’agit d’ « entretiens express ». Nous y voici !

Pourquoi un Job-dating ? Forte de ses partenariats industriels, l’EEIGM a souhaité faciliter les échanges entre entreprises et candidats en les réunissant le même jour au même endroit.

Objectif ? Créer une synergie entre les différents acteurs, leur permettre de se connaître en vue de se retrouver par la suite pour un entretien professionnel approfondi et favoriser ainsi l’insertion professionnelle. Par ailleurs, cette méthode originale d’échange rapide en face à face a permis à des candidat(e)s de se promouvoir en direct et de retenir l’attention des entreprises.

Rendez-vous a donc été donné le vendredi 22 septembre.

Au cours de la matinée, les entreprises ont pu découvrir la formation présentée par la Directrice de l’EEIGM, Brigitte Jamart, puis l’environnement dans lequel ils(elles) ont évolué en visitant  l’école. De leur côté, les élèves et futur(e)s diplômé[e]s ont bénéficié d’informations et participé à des ateliers organisés par l’APEC et Coba Conseil sur le sujet des formations disponibles, de la recherche d’emploi et des entretiens d’embauche.

La journée s’est poursuivie l’après-midi avec le job-dating qui a réuni les entreprises, les élèves de 4ème année en recherche d’un stage* et les futur(e)s diplômé[e]s EEIGM qui recevront leur précieux sésame le samedi 21 octobre prochain. Les entreprises qui ont participé à cette première édition couvrent les très nombreux domaines d’application des matériaux tels que l’aéronautique, l’aérospatial, la chimie, la métallurgie, l’énergie, l’automobile.

La journée s’est terminée avec un très joli bilan. Entreprises et candidat€s ont fait part de leurs retours, nombreux et très positifs. L’EEIGM pense déjà à sa deuxième édition. Rendez-vous l’année prochaine !

 

 

* l’EEIGM compte 30% de stages dans sa formation d’ingénieur[e]s en filière classique et 65% en filière par apprentissage

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